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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Reuters
Publié le 26.12.1012

Enquête sur un partenariat nucléaire entre EDF et la Chine

EDF

Une enquête a été ouverte par l'Inspection générale des Finances sur les conditions dans lesquelles le PDG d'EDF, Henri Proglio, a signé en novembre 2011 un partenariat entre EDF et son homologue chinois CGNPC, écrit Le Canard enchaîné à paraître mercredi.

Le ministère de l'Economie n'était pas disponible dans l'immédiat pour confirmer l'information et EDF n'a pas souhaité faire de commentaire.

Selon l'hebdomadaire satirique, le gouvernement cherche à élucider les conditions dans lesquelles Henri Proglio a signé en novembre 2011 un partenariat nucléaire entre l'électricien français et son homologue chinois, China Guangdong Nuclear Power Company (CGNPC).

Cet accord, qui prévoyait la construction de centrales nucléaires équipées d'un nouveau réacteur, concurrent de l'EPR, aurait été bloqué le 19 avril 2012, à trois jours du premier tour de la présidentielle, par le ministre de l'Economie de l'époque, François Baroin.

Le Nouvel Observateur avait alors dévoilé des extraits du projet d'accord, laissant entendre qu'Henri Proglio était prêt à livrer contrats et secrets du parc nucléaire français aux Chinois, dans l'espoir de s'allier les seuls électriciens du monde qui continuent à construire des réacteurs.

Il aurait pu ainsi léser les intérêts du constructeur nucléaire hexagonal, Areva.

A la demande du gouvernement, l'électricien français aurait finalement signé en octobre, après une réunion du conseil de politique nucléaire, un accord confidentiel tripartite avec Areva et CGNPC.

Le mois dernier, le Comité de groupe européen (CGE) d'Areva, instance représentative des salariés du groupe, a demandé au spécialiste public du nucléaire de lui transmettre une copie du protocole d'accord franco-chinois. Les syndicats redoutent en particulier que les transferts de technologies prévus dans l'accord avec la Chine n'aillent trop loin.

Par ailleurs, une enquête est menée par les gendarmes de la section de recherches de Versailles (Yvelines) à la suite de l'agression d'une syndicaliste du groupe nucléaire européen, lundi dernier, à son domicile.

Le quotidien Libération a lié cette agression à l'accord de coopération tripartite auquel l'ex-présidente du directoire, Anne Lauvergeon, s'opposait.

Anne Lauvergeon a été entendue jeudi dernier par les enquêteurs pour donner son témoignage, a-t-on appris de source proche de l'enquête.


 

LADEPECHE.FR

Publié le 26.12.2012

Médicaments sur internet :
la controverse

Les medicaments

Sous la pression de l'Europe, la France a pris le 21 décembre un décret encadrant la vente de médicament sur internet par les pharmacies. Une mesure qui inquiète la profession alors que les Français semblent très prudents à l'idée d'acheter sur la Toile.

La vente de médicaments en France va connaître un vrai bouleversement dans les semaines à venir lorsque le décret présenté en conseil des ministres le 19 décembre dernier va être concrètement mis en place pour autoriser la vente de médicaments sur internet.

L'ordonnance relative «au renforcement de la sécurité de la chaîne d'approvisionnement des médicaments, à l'encadrement de la vente de médicaments sur internet et à la lutte contre la falsification de médicaments» a été publiée le 21 décembre au Journal officiel.

Ce texte découle de l'obligation faite par l'Union européenne à la France de transposer d'ici le 2 janvier 2013 une directive européenne sur la vente de médicaments sur internet. L'Europe considère en effet qu'une interdiction nationale absolue de vente par correspondance de médicaments constitue une entrave à la libre circulation des marchandises.

Le décret présenté par Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, va donc officiellement autoriser en France les pharmaciens à monter leur propre site internet pour vendre un certain type de médicament.

«La vente de médicaments sur internet par les pharmaciens d'officine est désormais strictement encadrée. La vente doit être adossée à une officine physique, relève de l'entière responsabilité du pharmacien et est limitée aux seuls médicaments dits de médication officinale qui peuvent être présentés en accès direct au public», indique le ministère. La vente de ces médicaments - présents en libre accès sur le comptoir - «est soumise aux règles de déontologie applicables à l'officine», précise le ministère. Enfin, «la création du site internet de commerce électronique de médicaments de l'officine de pharmacie est soumise à autorisation du directeur général de l'agence régionale de santé territorialement compétente.»

Autant de garanties et de garde-fous pris par Marisol Touraine, mais qui ne laissent pas d'inquiéter les pharmaciens. Dans un long communiqué, l'ordre national des pharmaciens rappelle le rôle capital du pharmacien auprès des patients et pointe plusieurs risques qu'introduit cette mesure.

De son côté, la députée de Haute-Garonne Catherine Lemorton, pharmacienne de profession et spécialiste des questions de Santé à l'Assemblée nationale, craint de voir disparaître les petites pharmacies en zone rurale qui n'ont pas les moyens de créer et gérer un site web. C'est bien là tout l'enjeu du dossier de ces pharmacies «2.0».

Acheter sur le web : les Français restent prudents

Acheter un médicament sur internet ? Les Français semblent plus que réticents si l'on en croit une enquête de l'institut de sondages Ifop, réalisée pour le compte de l'Iracm et de l'Unifab, en septembre dernier.

3 % des Français ont ainsi déjà acheté un médicament sur prescription via une pharmacie en ligne, selon l'étude. «L'achat de médicaments sur internet constitue ainsi une pratique encore rare et pour laquelle, même en cas de légalisation officielle par les autorités françaises, les patients ne semblent pas encore tout à fait prêts», souligne l'enquête Ifop précisant que «la part des Français se déclarant prêts à acheter des médicaments sur ordonnance par le biais d'une e-pharmacie n'étant que de 17 %.»

«L'achat en pharmacie, c'est-à-dire dans le cadre du parcours de soin traditionnel, revêt un caractère essentiel en ce qui concerne les médicaments nécessitant une ordonnance», estime l'étude.

Mauvaise information

Autre fait saillant : les Français sont mal informés : «50 % des Français pensent que l'attractivité des prix est la 1re motivation de l'achat sur internet, 38 % pensant qu'il s'agit plutôt du fait de ne pas avoir à présenter d'ordonnance.» 23 % des Français pensent d'ailleurs que l'achat de médicaments via une pharmacie en ligne est légal en France, ce qui n'était pas encore le cas au moment de l'enquête.

61 % des Français et 44 % des acheteurs ont d'ailleurs pleinement conscience d'être mal ou très mal informés. «Les efforts de sensibilisation s'avèrent en outre décisifs auprès des plus jeunes : 75 % d'entre eux estiment être mal informés», conclut l'enquête.

Mesure «dangereuse» pour l'ordre des pharmaciens

Le Conseil de l'ordre des pharmaciens n'a pas tardé à réagir à l'ordonnance relative au renforcement de la sécurité de la chaîne d'approvisionnement des médicaments, présentée par la ministre de la Santé le 19 décembre, et dont l'une des conséquences sera la possibilité pour les pharmacies de vendre directement certains médicaments sur la toile.

«Interlocuteur irremplaçable»

L'ordre n'est a priori pas contre une telle possibilité à la condition expresse que les pharmacies conservent le rôle majeur de conseil auprès des patients. «L'Ordre s'est battu et se battra sans cesse pour que les rôles essentiels du pharmacien ainsi que le maillage territorial des pharmacies soient préservés, dans l'intérêt supérieur de la santé publique. Les sites de vente par internet doivent exclusivement être et demeurer une simple extension des pharmacies légalement autorisées sous le contrôle constant et effectif du pharmacien, qui reste soumis aux mêmes règles déontologiques et professionnelles», a indiqué le conseil national dans un communiqué publié le lendemain de l'annonce ministérielle.

Et d'évoquer 7 critères, selon l'ordre, indispensables. «1. Tout site de commerce électronique de vente de médicaments est une extension d'une pharmacie physique. Pas de pharmacie physique, pas de site. Pas de site sans autorisation des Agences régionales de santé (ARS) et déclaration à l'Ordre ;

2. Tous les sites autorisés doivent être répertoriés sur une liste accessible à tous ;

3. Tout médicament délivré en ligne doit l'être dans les mêmes conditions qu'en officine : une délivrance exclusivement sous le contrôle effectif d'un pharmacien ;

5. Le champ des médicaments autorisés à la vente électronique doit être restreint ;

6. Tout médicament commandé sur site doit partir du stock de la pharmacie ;

7. Les pouvoirs publics doivent édicter des «bonnes pratiques» pour conjurer les dérives, contrôler les sites comme les pharmacies physiques et suspendre les sites en cas de manquements aux règles présentant des risques pour les patients.»

L'ordre des pharmaciens estime que le respect de ces 7 critères est la condition pour que le pharmacien continue à être l'«interlocuteur et le dispensateur irremplaçable.»

Risque de brouillage

«Le médicament n'est pas un bien de consommation ordinaire. Toute substance active est à la fois vecteur de santé et facteur de risque. La sécurité du patient doit donc rester la priorité de tous. Rien ne peut remplacer le conseil relatif au médicament donné dans une officine, en face à face par le pharmacien. Le recours à l'internet, prochainement ouvert et régulé, ne pourra jouer un rôle positif que s'il vient renforcer l'action du pharmacien et non la brouiller ou la remplacer», estime l'ordre. Qui pointe par ailleurs les risques de la vente sur internet : «impossibilité d'utiliser la carte Vitale ; incitation à consommer davantage et en grande quantité pour éviter les frais de port ; absence de confidentialité ; galvaudage du terme pharmacie ; difficulté à vérifier le respect des règles professionnelles.»

«L'autorisation de vente en ligne était peut-être juridiquement inéluctable mais elle est sanitairement inopportune et dangereuse pour la santé publique, aussi longtemps que ces périls ne seront pas jugulés», estime l'ordre qui sera vigilant lors de la mise en œuvre de l'ordonnance ministérielle.

 

Sur internet, un besoin de labels

Interrogés par l'Ifop, les Français, à 52 %, souhaitent que les sites de vente en ligne de médicaments soient garantis par des logos et des certifications. Actuellement, l'ONG suisse Health on net (HON), créée en 1995, propose de labelliser les sites de santé. Pour Catherine Lemorton, ces garanties restent toutefois insuffisantes pour évaluer des sites de pays différents.


interview

«Un risque pour les petites officines»

Que pensez-vous du décret permettant aux pharmaciens de vendre en ligne leurs médicaments ?

Sur le principe ce n'est pas terrible. Il fallait bien sûr commencer à y mettre des règles, car il y a des ventes sur internet qui sont des portes d'entrées pour des médicaments falsifiés. Ensuite, il y a des directives européennes qui l'autorisent et qui ont mis la pression. Mais on aurait peut-être pu attendre un petit peu. Le décret dit que la vente sur internet ne sera possible que lorsque le site internet sera adossé à une vraie pharmacie et sous la responsabilité d'un pharmacien. Maintenant, quid des petites pharmacies qui n'auront pas les moyens de faire des sites web ? Ce sera la majorité. Peut-être seront-elles obligées de se regrouper pour en faire un ; c'est à la profession et aux différents syndicats de s'organiser.

Y a-t-il un risque, selon vous, de voir disparaître des pharmacies ?

Oui bien sûr. Si c'est la 5e pharmacie d'une rue où il y en a déjà quatre ce n'est pas gênant. Si c'est une pharmacie rurale ou en péri-urbain où on se plaint déjà qu'il n'y a pas assez de médecins, c'est tout un ensemble qui sera bouleversé. Le ministère a voulu restreindre plus en disant que ce ne soit que pour les médicaments d'automédication (ceux qui sont déjà devant le comptoir en accès libre) ; mais le Conseil d'État a élargi pour que ce soit pour tous les médicaments pour lesquels la prescription du médecin n'est pas obligatoire. Dans ce cas, je ne sais pas où l'on met les pieds.

La mise en place de cette mesure aurait-elle nécessité davantage de concertation ?

Le ministère a mené une concertation. On m'a demandé mon avis mais je n'ai pu le donner faute d'avoir le projet de décret complet entre les mains. Pour ma part, je pense qu'il aurait fallu réserver cette mesure à l'automédication que l'on met sur le dossier pharmaceutique (DP). Cela étant, la mesure va entrer en vigueur ; elle va être très surveillée et il faudra en faire un bilan d'ici un an.

zoom

Le fléau des contrefaçons

Une publicité douteuse proposant du Viagra à prix cassé ; des pilules amincissantes à tarifs imbattables ; des méthodes «bio» pour retrouver du tonus ; ou de la DHEA pour arrêter de vieillir ; etc. Qui n'a jamais reçu dans sa boîte e-mail une proposition de ce type rédigée dans un français sommaire ou ayant au contraire tous les atours du laboratoire professionnel ? La multiplication de ces courriels indésirables constitue la partie émergée de l'iceberg du marché parallèle des faux médicaments, rendu aisément accessibles via internet.

10,5 milliards d'euros par an

Un marché qui a des conséquences économiques très importantes pour l'industrie pharmaceutique mais aussi qui constitue un risque majeur pour la santé de ceux qui commandent ces faux médicaments sur internet. Selon l'enquête «Cracking Counterfeit Europe» réalisée par Pfizer dans 14 pays européens en 2010, le marché du faux médicament était estimé à 10,5 milliards d'euros par an en Europe et 1 milliard en France. Le nombre d'acheteurs était évalué à 77 millions d'Européens et 6,9 millions de Français.

C'est pour lutter contre ce fléau que l'Europe souhaite que les pays membres autorisent en l'encadrant la vente de médicaments sur internet. Et il y a urgence. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 50 % des médicaments vendus sur internet seraient des contrefaçons. Environ 10 % du total des médicaments en vente seraient contrefaits tous circuits de commercialisation confondus.

Ils peuvent contenir des substances actives non mentionnées sur l'étiquette, être périmés ou altérés par des conditions de stockage ou de transport inadaptés. «Les contrefaçons et autres falsifications de médicaments échappent à tous les contrôles permettant de garantir au consommateur leur qualité en termes d'efficacité et de sécurité et représentent donc un risque pour leur santé», explique l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), qui se veut rassurante. Entre 2001 et 2011, seuls quelque 60 cas de pharmacovigilance liés à la prise de médicaments achetés sur internet ont été déclarés à l'ANSM, dont vingt concernent des achats de produits amaigrissants ; et dix des anabolisants stéroïdiens utilisés en milieu sportif pour accroître les performances.

Mais l'Europe est inondée de tels produits. Les médicaments falsifiés ou contrefaits représentent 25 % des marchandises contrefaites saisies aux frontières de l'Union européenne. Et en 2012, les saisies effectuées par les douanes françaises ont triplé par rapport à 2011 avec 427 000 saisies dont 356 800 à l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. 


 

Le Monde.fr

Publié le 26.12.2012

Etats-Unis : le tueur de Webster a tendu un piège aux pompiers

William Spengler

William Spengler, qui a tué lundi deux pompiers volontaires de l'Etat de New York et en a blessé deux autres avant de se suicider, a laissé une note annonçant son geste, ont déclaré mardi 25 décembre les autorités. Il leur a tendu un piège en incendiant une maison à Webster, près de la ville de Rochester, dans le nord-est des Etats-Unis. Dissimulé derrière un talus, il s'est mis à tirer sur eux, en touchant quatre, dont deux mortellement. Il s'est suicidé après un échange de coups de feu avec un policier.

Gerald Pickering, le chef de la police de Webster, a lu des passages de la note du tueur lors d'une conférence de presse. 'Je dois encore me préparer pour voir combien de maisons des environs je peux détruire puis faire ce que j'aime le plus, tuer des gens', écrivait-il notamment. La police n'a pas encore établi les raisons de son passage à l'acte, ni pourquoi le tueur, qui était âgé de 62 ans, s'en est pris à des pompiers.

Le tireur avait été condamné en 1981 pour meurtre pour avoir battu à mort avec un marteau sa grand-mère de 92 ans et avait passé dix-sept ans en prison. Les enquêteurs tentent de localiser sa soeur, Cheryl, 67 ans, qui est portée disparue. Ils essaient également de comprendre comment William Spengler, qui était armé d'un revolver Smith&Wesson 38, d'un fusil à pompe Mossberg et d'un fusil semi-automatique 223 Bushmaster, a pu se procurer ces armes alors que sa condamnation lui interdisait légalement d'en acheter.

LE DÉBAT SUR LES ARMES RELANCÉ APRÈS LA TUERIE DE NEWTOWN

Cette fusillade survient dix jours après la tuerie de l'école Sandy Hook de Newtown, dans le Connecticut, qui a relancé le débat sur le contrôle des armes dont le port et la possession sont des droits garantis par le deuxième amendement de la Constitution.

A la suite de ce drame qui a coûté la vie à 26 personnes dont 20 enfants âgés entre 6 et 7 ans, le président Barack Obama a apporté son soutien à une éventuelle proposition de loi qui rétablirait une loi interdisant la vente de fusils d'assaut adoptée en 1994 sous la présidence démocrate de Bill Clinton et qui a expiré en 2004 sous son successeur républicain, George W. Bush.

Le chef du lobby américain des armes à feu, la National Rifle Association (NRA), Wayne Lapierre, a rejeté dimanche l'idée d'interdire de nouveau les armes militaires.

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envue

Tango argentin… et maternité!

envuejanvier2015

Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.

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causedesfemmes droite

Les femmes sont magnifiques et la grâce insoumise !

Par Louise Gaggini

01lesinfosdelaredaction

Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…

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Fabrice Luchini & Pierre Arditi

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