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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Baudrillard le «cool prophète»

There are no translations available.

Jean_Baudrillard_

Amour et mort toujours. Eros et Thanatos. Sur les tee-shirts quelque part en Californie, on peut lire, devant « I love Baudrillard » et, derrière, « Baudrillard loves you ». La mort du dernier grand « french théoricien », le 6 mars 2007, a ébranlé les campus américains[1]. Après les morts de Foucault en 1984, Deleuze en l994, Lyotard en 1998 et de Derrida en 2004, ces ex-patriés de la french theory » qui comme lui n’étaient pas prophètes en leur pays. Alors que « Le Monde » quelques jours après son décès, alimentait encore une fois le malentendu autour de sa vision du 11 septembre, allant jusqu’à parler de « dérive tardive », les Etats-Unis multipliaient les hommages et les monographies[2] très fouillées et érudites pour cerner le stimulant parcours critique d’une œuvre entamée en 1968 avec « le Système des objets ».

Tandis que Foucault - pourtant reconnu, lu et admiré dans le monde entier et qui a vécu en Suède et en Tunisie, n’a rien dans les méandres de sa pensée d’un intellectuel global, Baudrillard l’incarne, lui, à la perfection, dans tous ses excès mêmes. «Métaphysicien par inclinaison et sociologue par défaut, un étrange météore venu d’où ne sait où, ni où il pouvait aller, peut-être plus américain que les Américains eux-mêmes», déclare Sylvère Lotringer[3] qui le publie pour la première fois aux Etats-Unis en l983 avec le petit volume «Stimulations» qui assurera la renommée durable de Baudrillard dans le milieu artistique. Les Américains le liront avec passion, et ce jusqu’à ses dernières apparitions publiques à New York en 2005, où des centaines de jeunes gens se pressaient encore pour écouter ses étourdissantes conférences sur la prison irakienne Abou Ghraib. Tandis que les étoiles locales délaissées, Philippe K. Dick, James Ellroy ou Paul Auster se voyaient tout auréolées de gloire à Paris, l’Amérique se choisit étrangement «un fils de Champagne, né lors du pire krach, 1929, et en fait un pur produit de la star académie», remarque Thierry Bardini, universitaire à Montréal.

Il est certain que Baudrillard fut l’un des premiers à avoir pris la pleine mesure du simulacre absolu instauré par le pays de Warhol et Disney. Un point de vision ; un regard décapant entre fascination et effroi, qui «globalisera» d’emblée sa pensée, tant il est vrai qu’« aujourd’hui, c’est le monde entier qui est devenu l’Amérique», souligne Gary Indiana, auteur du «Syndrome Schwarzenegger».

Une terre d’ombres projetées par d’autres ombres

Dans cette caverne post-moderne, véritable société de montreurs d’images, Baudrillard fait figure de soleil, c’est-à-dire de maître[4] de la visibilité extérieure de la société américaine. Ses intuitions y seront exploitées par les artistes cherchant, après le pop art et la beat generation, à «traiter des mécanismes de la culture de masse et de sa vaste circulation des images en reproduction», souligne Tom Griffin, rédacteur-en-chef de la revue Artforum International». En pleine révolution conservatrice reganienne, un courant «simulationniste» naît même dans son sillage. De Peter Halley à Jeff Koons, le nom de Baudrillard devient le sésame de l’art new-yorkais. Un malentendu cordial commence alors. L’émoi des milieux arty sera de taille, en effet, à la parution du «Complot de l’art», où Baudrillard raillait une corporation»louchant éperdument sur elle-même» et devenue avec ses tarifs exhorbitants le fétiche même de la marchandise prétendument dénoncée. «Pardonne-nous d’avoir été aussi révoltés. D’avoir pris la balle et d’avoir couru avec - dans le mauvais sens !», s’amuse Jim Fletcher, performer et écrivain de l’underground new-yorkais. Il n’y a pas jusqu’au roman cyberpunk ou à la musique électronique qui n’aient là-bas été irrigués par sa pensée. La réalisatrice hollywoodienne de «Strang Days», Kathryn Bigelow, y trouvera une inspiration constante, sans parler des frères Wachowski, dont le blockbuster culte «Matrix», un gigantesque artefact maternant et menaçant né de la perfusion de tous les esprits, métaphorisait cette exténuation crépusculaire du réel dont accouche la modernité selon Baudrillard[5].

Rien de surprenant dans cette popularité ambivalente autour d’un personnage séduisant et agaçant à la fois[6] qui surfe avec l’actualité et les modes. Si le monde intellectuel américain ressemblait à un western hollywoodien, écrivait François Cusset dans son essai dédié à la « French Theory [7]», Jean Baudrillard y aurait tenu l’un des premiers rôles. A droite d’un Derrida vu en Clint Eastwood, « solitaire à la tignasse conquérante », Baudrillard aurait incarné « un mélange de bonhomie et d’humour détaché à la Gregory Peck ». Une icône post-moderne omniprésente aux côtés de Foucault et de Lyotard, tandis qu’en France les batailles théoriques et partisanes autour de la « pensée-68 » étaient venues se briser au cours des années 1980 sur la molle victoire d’un nouvel « humanisme antitotalitaire » et d’une presse assassine qui cultive l’art du crime parfait. « Si l’information est le lieu du crime parfait contre la réalité, la communication est le lieu du crime parfait contre l’altérité[8]. »

Sa thèse qui prétend dépasser la société du spectacle chère aux situationnistes et déjà en pointillé dans l’allégorie platonicienne de la caverne : nous sommes entrées dans la loi de la virtualité qui dépasse celle du spectacle, pressent Baudrillard dans « Le crime parfait » « La virtualité est autre chose que le spectacle, qui laisse encore place à une conscience critique et à une démystification. L’abstraction du « spectacle », y compris chez les situationnistes, n’était jamais sans appel. Car nous sommes en possession de toute l’information. Nous ne sommes plus spectateurs, mais acteurs de la performance, et de plus en plus intégrés à son déroulement. Alors que nous pouvions affronter l’irréalité du monde comme spectacle, nous sommes sans défense devant l’extrême réalité de ce monde, devant cette perfection virtuelle. En fait, nous sommes au delà de toute désaliénation. C’est la forme nouvelle de la terreur, en regard de laquelle les affres de l’aliénation étaient peu de chose.[9] »

Troublante par sa capacité à «créer la sensation du présent comme s’il surgissait du futur», l’œuvre du «cool prophète» joue avec «l’immédiateté du fait et la résonance de la science fiction», retient pour sa part Michael Silverblatt, producteur de la grande émission littéraire «Brookworm». Un vertige qui atteindra son climax avec le ll Septembre. Dans «l’Echange symbolique et la mort», Baudrillard avait fait en 1976 du World Trade Center «l’emblème de la Simulation et du nouveau capitalisme». Anticipant la mise en crise possible de tout le système, il y soulignait que le seul défi possible à son hégémonie absolue passait par «un don auquel il ne puisse pas répondre, sinon par sa propre mort et son effondrement». Sidérante préscience de l’événement à venir au croisement de l’idée du tout est possible à l’ère des kamikazes, des présidents fous, des milices fondamentalistes et des armées privées, suréquipées en multimédia.

L’événement du 11-septembre

Lorsque l’événement 11-Septembre fit irruption, « il s’est révélé le seul capable de le reconnaître pour ce qu’il était», assure aujourd’hui Sylvère Lotringer. «Son superbe «Requiem pour les Twin Towers» a été égal à l’événement, prolongeant sa puissance éruptive au lieu d’empiler, comme on l’a fait, des explications justes pour l’ensevelir[10].»

Ainsi, Jean Baudrillard, symptôme qui fait époque, soutenait même de manière métaphorique que « le ll-Septembre n’a pas eu lieu », car précisément indescriptible, donc pas saisissable dans l’« universel reportage ». Contre les situationnistes, le « cool prophète »  veut dépasser la dialectique du réel et de l’illusion et prendre en compte le pouvoir contemporain de la virtualité. Il renvoie à la toute puissance de la simulation, qui n’est pas, comme chez Debord, le signe de la perte de réalité de l’existence sociale, mais au contraire le signe de son excès.

« Donc, le monde est une illusion radicale. C’est une hypothèse comme une autre. De toute façon, elle est insupportable. Et pour la conjurer, il faut réaliser le monde, lui donner force de réalité, le faire exister et signifier à tout prix, lui ôter tout caractère secret, arbitraire, accidentel, en chasser les apparences et en extraire le sens, l’ôter à toute prédestination pour le rendre à sa fin et à son efficacité maximale, l’arracher à sa forme pour le rendre à sa formule. Cette gigantesque entreprise de désillusion, littéralement : de mise à mort de l’illusion du monde au profit d’un monde absolument réel - c’est cela qui est proprement la simulation[11] ».

C’est bien l’illusion qui s’oppose à la simulation, et non le réel qui ne fait que s’étendre sous l’action de celle-ci. Cette prolifération du réel, c’est « une véritable catastrophe, celle du destin fatal d’un monde objectif.[12] » Dans un article du « New York Times » publié quelques jours avant l’élection présidentielle de 2004, Ron Suskind[13], révéla les termes d’une conversation édifiante qu’il avait eue, au cours de l’été 2002, avec Karl Rove, conseiller politique de George W. Bush et fort symptomatique de notre fiction théorique du reporter d’idées et de son diagnostic de l’actualité: « Il m’a dit que les gens comme moi faisaient partie de ces types « appartenant à ce que nous appelons la communauté réalité » (the reality-based community) : « Vous croyez que les solutions émergent de votre judicieuse analyse de la réalité observable ». J’ai acquiescé et murmuré quelque chose sur les principes de Lumières et l’empirisme. Il me coupa : « Ce n’est plus de cette manière que le monde marche réellement. Nous sommes un empire, maintenant, poursuivit-il, et lorsque nous agissons, nous créons notre propre réalité. Et pendant que vous étudiez cette réalité, judicieusement, comme vous le souhaitez, nous agissons de nouveau et nous créons d’autres réalités nouvelles, que vous pouvez étudier également, et c’est ainsi que les choses se passent. Nous sommes les acteurs de l’histoire (…) Et vous, il ne vous reste plus qu’à étudier ce que nous faisons. »

Le stade ultime de la communication politique précise Christian Salmon en jouant sur le paradoxe dans la droite ligne de son maître Baudrillard n’est plus celui de la persuasion, de la propagande ou de la publicité, mais celui de la simulation. Tous les événements que la machine politique s’efforce de susciter sont désormais des événements simulés au sens où ils sont d’avance inscrits dans le déchiffrement et le décryptage. Ils fonctionnement comme un ensemble de signes voués à leur seule propagation. Le cyclone Gustav, qui a perturbé  les premiers jours de la convention républicaine, peut ainsi se lire comme la métaphore d’une toute autre dévastation que la seule destruction des territoires traversés : celle de l’espace même du politique[14].

Le film culte de Matrix

Remontons un peu le cours du temps. Nous sommes en 2003, il fait sombre. Sanglés dans des fauteuils fluos de multiplexes et contraints d’avaler des kilos de pop-corn, les disciples modernes de Platon et de Schopenhauer sont utilisés comme logiciels pensants pour craquer le code de « Matrix ». Néo-Keanu Reeves les arrachera-t-il à l’odieux esclavage où le sont plongés les frères Wachowski ? En attendant la délivrance, sur des forums Internet du monde entier, philosophes de premier plan et cyber-sophistes se battent à grands coups de lasers dialectiques pour savoir si Descartes ou Berkeley sont les précurseurs du pire des mondes de « Matrix » et si Adorno et Horkheimer auraient cautionné les cabrioles aériennes de la belle Trinity. Une table ronde philosophique intitulée « Le désert du réel » est même consacrée à « Matrix » le 22 juin au Centre Pompidou, à Paris.

Etrange monstre décidément, cette saga « Matrix » qui charrie autant de détritus conceptuels new-age que d’interprétations métaphysiques stimulantes. Tandis que le grand Slavoj Zizek livre un post-moderne décryptage lacanien dans « Matrix ou la Double Perversion », le site de TF1 se met à citer « La Critique de la raison pure », le philosophe Jean-Pierre Zarader y certifiant que « ce que l’on redécouvre avec « Matrix » ; c’est la profondeur du kantisme ».

Pour ceux qui, absents de la planète Terre depuis environ trois ans, ne seraient pas encore entrés dans la Matrix, rappelons l’intrigue de ce véritable film d’horreur ontologique, qui emprunte autant à la gnose qu’à Philip K. Dirk et à l’école de Francfort. Nous sommes au XXIIe siècle, le réel est détruit, et c’est peu dire que l’Intelligence artificielle nous mène la vie dure. Enfermés dans des sortes d’alvéoles, les humains sont utilisés comme piles énergétiques par la Matrice, à la fois mère et machine, qui les maintient dans l’illusion d’un réel disneylandisé. Une poignée d’irréductibles, emmenés par Neo, l’Elu, entreprend de réveiller l’humanité de cet « imMonde », où la technique, à moins que ça soit le capitaliste avancé, la materne abusivement. Seul un dieu à lunettes noires pourrait encore nous sauver ?

Que les disciples de Heidegger ne dansent pas trop tôt la carmagnole. « Matrix 2 » nous assomme en effet d’un terrible soupçon : et si la Matrice, cette mégacaverne de Platon, cette ordure numérique, avait déjà intégré et anéanti toute possible contestation ? Insensés, qui imaginions que la résistance pouvait être autre chose que l’ultime fiction. Baudrillard vient de virtualiser Neo. 

Analysant le succès de « Matrix », où images numérique, cyberespace, simulations guerrières ou clonage ne se contentent plus d’éloigner le réel  mais l’ont carrément évacué, Jean Baudrillard soutient que le système produit une négativité en trompe-l’œil, qui est intégrée aux produits du spectacle comme l’obsolescence est incluse dans les objets industriels[15]. C’est du reste la façon la plus efficace de verrouiller toute alternative véritable. Il n’y a plus de point oméga extérieur sur lequel s’appuyer pour penser ce monde, plus de fonction antagoniste, il n’y a plus qu’une adhésion fascinée. Mais il faut savoir pourtant que plus un système approche de la perfection, plus il approche de l’accident total.

« C’est une forme d’ironie objective, qui fait que rien n’est jamais joué. Le 11 septembre participait de ça, bien sûr. Le terrorisme n’est pas une puissance alternative, il n’est jamais que la métaphore de ce retournement presque suicidaire de la puissance occidentale sur elle-même. C’est ce que j’ai dit à l’époque et qui n’a pas été accepté. Mais il n’y a pas à être nihiliste ou pessimiste face à ça. Le système, le virtuel, la Matrice, tout ça retournera peut-être aux poubelles de l’histoire. La réversibilité, le défi, la séduction sont indestructibles.[16]

Hémorragie ultime, crime parfait par rapport auquel Baudrillard n’adoptera jamais de posture moralisatrice ou prescriptive, préférant à tout prendre celle du détachement nihiliste quand c’est le système lui-même qui , dissimulant son propre néant, est « véritablement négationniste », ainsi qu’il l’écrira un jour. « Baudrillard était comme William S. Burroughs à la fin de sa vie- une des rares figures publiques dont la présence véhicule une promesse de bonheur au-delà de tout contenu littéral », souligne l’écrivain de Los Angeles Chris Kraus, organisatrice du mythique « Colloque sur la chance » dans un casino du Nevada en 1996. « 400 personnes y étaient assises par terre, à 2 heures du matin, pour écouter Jean Baudrillard donner une conférence sur « La Mort du réel ». Gourou malgré lui, l’auteur du « Cool Memories » y était apparu en costume lamé or, « tel un simulacre d’Elvis », se souvient Paul D. Miller, alias DJ Spooky, alors jeune étudiant au milieu d’une assemblée extatique.

  Résultat : le cool prophète est toujours vivant bien que mort et enterré : c’est bien le crime parfait !

Christian Duteil



[1]  Aude Lancelin et Marie Lemonnier «Cool prophète. L’hommage américain à Baudrillard» Le Nouvel Observateur N°2228 du 19 au 25 juillet 2007, pp. 84-85

[2]  La première du genre vient de paraître en France: «la Séduction Baudrillard», de Ludvic Leonelli (Paris, Editions de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts, 2009).

[3]  Fondateur de la revue et maison d’édition Semiotext(e) qui introduisit la «French Theory» aux Etats-Unis.

[4]  Pour Guy Debord et les situationnistes, le maître des images est le système de production capitaliste.

[5]Ibid., Le Nouvel Observateur, op. cité, pp. 84-85

[6] On peut ainsi ne pas trop s’attarder sur son pamphlet «Oublier Foucault» fort inégal et injuste intellectuellement parlant, même si l’on ne fait sans doute pas partie des disciples durs et purs du maître (qui n’en voulait d’ailleurs pas) dont on a pourtant suivi, entre deux reportages et/ou deux cours au lycée, les séminaires fort bondés et courus à Vincennes et surtout au Collège de France.

[7]  Paris, La découverte, 2003.

[8] Jean Baudrillard « Le crime parfait », Paris, Galilée, 1995, p.135.

[9]Ibid., pp.47-48.

[10]  Une analyse peu partagée dans les milieux français, où il est de bon ton encore de dénoncer l’insensibilité esthète de Baudrillard, comme le soulignent à juste titre les deux journalistes du Nouvel Observateur.

[11]  «Le Crime parfait», op. cité, p.33.

[12]Ibid., pp. 34-35.

[13]  Ron Suskind fut, de l993 à 2000, éditorialiste au Wall Street Journal et auteur de plusieurs enquêtes sur la communication de la Maison Blanche depuis 2000.

[14]  Christian Salmon Storytelling « Le retour de Karl Rove, le scénariste », Le Monde 6 septembre 2008, p. 31.

[15]  Ainsi dans notre civilisation klennex, un reportage TV récent à montrer que les industriels dépensent de l’argent et du temps pour tester les écrans plats de télévision et s’assurer qu’ils ne dureront pas plus de huit à dix ans maximum, afin de pousser à la consommation. De même pour les machines à laver…. Aujourd’hui, la première génération d’écrans plats achetés à prix d’or est obsolète et doit déjà être remplacée.

[16]  IIIe partie Annexe 2 : « Baudrillard décode Matrix ». Le Nouvel Observateur, 19-23 juin 2003.

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