Agressions visant les juifs de France
Agressions visant les juifs de France
Régulièrement des actes d’agression visant les juifs de France ont lieu depuis plus de 30 ans. Synagogues ou établissements scolaires incendiés, élèves, familles, ou religieux agressés, depuis trois décennies, plusieurs attentats, parfois très violents, ont visé la communauté juive du pays.
L’état ne protège plus ses ressortissants, ne nombreux Français-Juifs quittent la France, non sans regret, mais se sentant en danger sans aucune protection. Les dirigeants de notre pays bafouillent quelques indignations, condamne ces actes, mais dans les faits, rien ne changent et régulièrement des actions contre la communauté juive ont lieu.
2015 : 3 Février - attaque contre le centre communautaire Juif
Ce 3 février, agression de trois militaires, gardiens devant le centre communautaire Juif de Nice.
2015 : 9 Janvier 2105 – hyper Casher à Vincennes - prise d’otages
4 morts –
2015 : 7 Janvier tuerie dans les Locaux de Charlie Hebdo. 12 Décés
2014 en Septembre… incidents et manifestations anti juifs et pro palestiniens dans les rues de Paris, sous l’œil des policiers qui ont ordre de ne pas «bouger» … Des magasins sont incendiés à sarcelles.
2012 : l'affaire Merah Mars 2012,
Mohamed Merah fait feu sur des personnes qui attendent à un point de ramassage scolaire, non loin du collège juif Ozar Hatora à Toulouse. Parmi les victimes, un professeur de religion âgé de 30 ans et ses deux enfants de 6 et 3 ans, ainsi qu'un autre enfant, une fillette, âgée de 8 ans. Dans la fusillade, un adolescent de 17 ans, est grièvement blessé. Avant ce massacre, Mohamed Merah avait abattu trois militaires dans la région de Toulouse et Montauban. Il sera abattu à son tour par les hommes du Raid lors d'une intervention visant à le déloger de son appartement, dans lequel il s'était retranché.
2009 : une synagogue et une école cibles d'engins indiciaires
En 2009, toujours à Toulouse, une voiture lancée contre la grille d'une synagogue est incendiée. Quelques mois plus tard, un engin incendiaire est projeté contre une école juive du Xe arrondissement de Marseille. Les dégâts sont avant tout matériels.
2006 : La victime juive du gang des barbares.
Le 18 janvier 2006, Ilan, vendeur dans un magasin de téléphonie à Paris, est abordée par une adolescente. Un appât qui a pour consigne de séduire un jeune juif. Trois jours plus tard, elle l'entraîne en banlieue parisienne, où des complices l'attendent dans un trois-pièces d'un immeuble de la cité de la Pierre-Plate, à Bagneux (Hauts-de-Seine). Le piège se referme alors. Pendant 24 jours, le jeune homme est séquestré, frappé, insulté. A plusieurs reprises la famille d'Ilan reçoit des demandes de rançons, jusqu'à 450.000 euros. Mais Youssouf Fofana, la tête pensante, est méfiant, inconstant et les négociations n'aboutiront jamais. Le « gang des barbares » décide de se débarrasser de l'otage. Le 13 février, Ilan Halimi est encore vivant, lorsqu'il est retrouvé agonisant au bord d'une voie ferrée, à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans l'Essonne. Il est nu, bâillonné. Son corps, presque entièrement brûlé, porte plusieurs traces de coups de couteau. Ilan, âgé de 23 ans, décèdera durant son transport à l'hôpital. Youssouf Fofana a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Contre les 26 autres accusés, la justice a prononcé deux acquittements et des peines allant de six mois de jusqu'à 18 ans de prison.
2005 : Plusieurs étudiants juifs attaqués
Le 25 mai 2005, deux jeunes gens lancent trois bouteilles d'acide chlorhydrique sur une école juive du XVIIIe arrondissement de Paris. En juillet 2003, des élèves de l'école Jeunesse Beth Loubavitch à Paris sont attaqués à coups de barres de fer. Cinq mois plus tard, un établissement scolaire juif est dévasté par le feu à Gagny (Seine-Saint-Denis). Le 10 avril 2002, quatorze footballeurs de l'association Maccabi sont agressés à Bondy (Seine-Saint-Denis), à coups de barres et bâtons.
2001 : Attentats à la bombe
Le 31 décembre 2001, une classe de l'école Ozar Hatorah de Créteil est détruite par un incendie criminel. En septembre 1995, l'explosion d'une voiture piégée devant l'école juive de Lyon à Villeurbanne (Rhône) fait 14 blessés. Dix ans plus tôt, une explosion fait 18 blessés dans le cinéma Le Rivoli Beaubourg, lors du Festival international du cinéma juif. En 1980, rue Copernic, dans le XVIe arrondissement de Paris, une bombe dissimulée dans la sacoche d'une moto explose devant une synagogue, faisant 4 morts et 9 blessés.
1982 : L'attentat, rue des Rosiers
Le 9 août 1982, un commando de 5 hommes ouvre le feu et jette des grenades dans le restaurant Goldenberg, rue des Rosiers à Paris, dans le quatrième arrondissement. Le bilan est extrêmement lourd: 6 morts et 22 blessés graves. Le plus grave attentat antisémite en France depuis la fin de Seconde guerre mondiale.
1982 : Israël visé
Un mois après l'attentat de la rue des Rosiers, un diplomate israélien est grièvement blessé par l'explosion de sa voiture rue Cardinet, dans le XVIIe arrondissement de Paris. L'attentat, perpétré par les Fractions révolutionnaires armées libanaises, fait 51 blessés.
1982 : Assassinat
La même année, avenue Ferdinand-Buisson, dans le XVIe arrondissement de Paris Un diplomate israélien, Yacov Barsimantov, est assassiné dans son immeuble.
1979 : Explosions
En 1979, toujours à Paris, une explosion fait 33 blessés dans un foyer israélite, au lendemain de la signature du traité de paix israélo-égyptien.
1978 : Attentats à Orly
En 1978, à l'aéroport d'Orly, trois hommes ouvrent le feu dans la salle d'embarquement de la compagnie israélienne El Al, faisant 4 morts et 5 blessés. Attentat revendiqué par une organisation libanaise jusqu'alors inconnue «Les fils du Liban».
Nous arrêterons là la liste de ces agressions…
Certains êtres ont tendance à être amnésiques, et à oublier volontairement l’histoire…