Au delà des querelles de voisinage, un «cancer» profond existe.
Par Laure Mamadou
Plusieurs Faits divers ont eu lieu et ne fond pas la ‘une’ des grands quotidiens nationaux. Ils occupent la rubrique des ‘chiens écrasés’ en province, ils ont une odeur nauséabonde aux relents anti-raciaux , mais quand les pouvoirs publics cherchent à les banaliser…cela devient grave! Même très grave! Cela s’est passé près de chez vous! Et ça ne ressemble non pas à de simples querelles de voisinage, mais bel et bien à une guerre idéologique. Quand l’insulte raciale se banalise, quand elle prend la tournure d’une haine profonde contre ‘l’autre’, elle a la couleur de la vengeance plus ou moins consciente.…
L.M
Castres: une bataille rangée entre des parachutistes et une bande de jeunes dégénère
La ville de Castres (Tarn) a été le théâtre de violents incidents entre des parachutistes et des jeunes, dans la nuit de vendredi à samedi. Des affrontements qui ont coûté un œil à un soldat, et qui poussé le colonel à consigner ses hommes.
Un échange d'insultes qui tourne mal
Cette bataille rangée a opposé une soixantaine de soldats du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) et de jeunes individus, en marge d'une fête locale. Les soldats ont été insultés aux cris de "sales militaires" ou "sales Français" à leur sortie d'un bar du centre, ont indiqué un haut officiel tarnais et le colonel Eric Chasboeuf, chef du corps du 8e RPIMa. Selon ce dernier, les parachutistes, alors au nombre d'une dizaine, avaient eu le tort de défendre une jeune fille que des jeunes importunaient.
Les soldats se sont retrouvés devant l'établissement en présence d'un nombre beaucoup plus important de jeunes, qui avaient appelé du renfort. L'alcool aidant, les coups sont partis.
D'autres militaires et d'autres jeunes sont arrivés à la rescousse. L'affrontement a tourné à la bagarre générale sur la grande place du centre-ville, tandis que les participants à la fête se réfugiaient où ils pouvaient. Des policiers sont intervenus, tirant des balles en caoutchouc et utilisant des lacrymogènes pour séparer les opposants sans empêcher que des pugilats sporadiques continuent ailleurs. "Un de mes jeunes a été blessé à l’œil par un tesson de bouteille", a déploré le colonel Chasboeuf. Hospitalisé à Toulouse, "il a perdu son œil droit. Désormais à 21 ans, il ne peut plus exercer son métier, il ne sera plus parachutiste, plus militaire".
L'auteur présumé du coup de bouteille et un autre jeune ont été interpellés. Ils étaient présentés à un juge du pôle d'instruction de Toulouse dimanche en fin d'après-midi, a annoncé le parquet. Celui-ci a ouvert une information judiciaire criminelle pour violences avec arme ayant entraîné une invalidité permanente.
L'armée prend des dispositions pour éviter une revanche Connus de la police pour certains, les jeunes qui ont cherché querelle aux soldats constituent une "frange" avec laquelle la population, et pas seulement le RPIMa, a des problèmes, a expliqué un policier. Avec les parachutistes, ils trouvent à qui parler, d'autant plus que certains soldats ont eux-mêmes été des jeunes en difficulté. La nuit des faits, des cadres du régiment ont fait le tour de la ville pour ramener les soldats au bercail.
Pour éviter d'autres heurts, le colonel Chasboeuf a limité les quartiers libres dans la nuit de samedi à dimanche. Car la ville de Jean Jaurès (42.000 habitants) redoutait une seconde manche. Elle n'a pas eu lieu, selon la police. Le régiment partait en manœuvre dimanche, laissant 120 hommes en garnison, sur un effectif de 1.200. Les "consignes de prudence sont cependant maintenues", a indiqué le colonel Chasboeuf. La police, elle, prévoyait de conserver un dispositif renforcé dans la nuit de dimanche à lundi.
Un précédent en 2011
De tels incidents sont rares, a souligné le colonel. "Le 8 est un régiment très bien intégré dans la ville de Castres et compte dans ses rangs de nombreux jeunes issus de la diversité et de l'outre-mer. Nous voulons juste continuer à vivre sereinement et tranquillement dans notre ville de garnison." La caserne du "8" avait néanmoins été attaquée à la fin juin 2011 par une bande de jeunes armés, qui avaient essayé de forcer l'entrée et été repoussés. Selon des témoignages rapportés alors par le journal La Dépêche du Midi, cette attaque avait suivi une expédition menée par des individus à l'allure militaire contre un bar à chicha (pipe à eau). Depuis 1951, le 8e RPIMa a participé à toutes les opérations militaires françaises, en Indochine, en Algérie et, plus récemment, en Irak, en Bosnie-Herzégovine, en Afghanistan et dans différents pays d'Afrique
http://www.rtl.fr/actualites/article/castres-une-bataille-rangee-entre-des-parachutistes-et-une-bande-de-jeunes-degenere-7752302024
Le point de vue du Renard.
A Castres, une bataille rangée a opposé une soixantaine de soldats et des jeunes musulmans anti-Français – dans la nuit de vendredi à samedi après une fête locale.
Les soldats du 8e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine (RPIMA) ont été insultés aux cris de «sales militaires» et «sales Français» à leur sortie d’un bar du centre où ils avaient pris un verre, a rapporté le colonel Eric Chasboeuf, chef de corps du 8e RPIMA.
La rixe a été déclenchée parce que les parachutistes, au nombre d’une dizaine, avaient eu le tort de défendre une jeune fille qu’importunaient ces jeunes beurs dans le bar.
Oui parce que selon la charia qu’ils apprennent à la mosquée, les infidèles sont inférieurs aux musulmans, et ils ne doivent donc pas s’opposer à eux, surtout lorsqu’ils s’adressent à une chienne de blanche.
En sortant, les soldats se sont donc retrouvés en présence d’une horde de barbares – les musulmans n’attaquent jamais seuls, seulement en groupe – une meute très importante qui se voit déjà en train de préparer le Jihad islamique.
Les jeunes musulmans, cela ne surprendra plus personne, étaient pour certains d’entre eux des repris de justice et des multi récidivistes laissés en liberté parce que la société est trop injuste.
Les policiers ont tiré des balles en caoutchouc pour repousser les envahisseurs, ce qui n’a pu empêcher qu’un jeune soldat perde un œil après avoir été frappé avec un tesson de bouteille.
A 21 ans, il ne peut plus exercer son métier, a déclaré le colonel Chasboeuf.
Toutes nos pensées vont à ce jeune qui avait fait de la défense de la France son métier, et qui s’est trouvé, sur son sol, face à ses pires ennemis.
L’auteur présumé du coup de bouteille et un autre jeune ont été interpellés. Ils devaient être présentés à la justice, a indiqué le parquet, et il iront grossir le nombre des «jeunes connus de la justice» qui circulent en liberté, menacent les bons Français, et narguent la police
Adjudant LAMART Laurent
501ème Régiment de chars de combat
Adjoint chef de cellule IE
Le couteau sous la gorge… à perpignan
Cela s'est passé à Perpignan, deux jeunes hommes de 26 et 28 ans marchaient tranquillement lorsqu'un groupe d'une dizaine de racailles a surgi et les a lâchement attaqués. Ils ont été plaqués au sol et menacés.
En effet, le "chef" de la bande leur aurait déclaré "Soit vous criez "Allah Akbar" soit je vous liquide, bande de sales sous-chiens de blancs!" Au début les jeunes auraient protesté mais le chef de la bande aurait hurlé: "Enculés de Français! Dites Allah Akbar" ou je vous arrache les burnes et je vous les fourre dans la bouche pour vous étouffer avec!" Les autres jeunes auraient sorti des couteaux et auraient relevé les deux jeunes au sol pour les faire s'agenouiller et puis leur auraient mis littéralement le couteau sous la gorge.
apeurés, ils auraient donc crié à tue-tête "Allah Akbar!"
Les jeunes musulmans contents d'avoir fait peur à de pauvres jeunes hommes, leur auraient enlevé leurs vêtements et leur auraient craché dessus aux cris de "sale chien de français! suce ma ****! Ta mère est une p***!"
Après s'être amusés les jeunes sont partis en emportant les effets personnels des deux victimes qui ont immédiatement porté plainte.
Les agresseurs ont été tous identifiés, il s'agit en fait d'un groupe de 16 personnes de 12 à 22 ans (tous musulmans) parmi ces 16 personnes se trouvaient 5 filles (elles aussi musulmanes, bien entendu) ils ont tous été déférés devant le parquet et écroués!
Recherche Web, Laure Mamadou.