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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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Christine Goémé, la Radio, la parole, la voix

 

CHRISTINE GOÉMÉ

(productrice sur France-Culture) 

 

La radio, la parole, la voix

 

« La radio, ma belle aventure ! »

 

Son visage me fait penser à une icône japonaise. Elle pétille, en proie à mille idées à la fois. Partout en même temps. Ne semble jamais sérieuse. Une énergie qui décoiffe. Aucun lien avec l’idée que l’on se fait d’une femme savante, d’une philosophe. Christine Goémé est une aventurière de la parole. Elle dit : « A la radio, nous sommes des pêcheurs de paroles. »

La radio. Son univers magique. Une planète merveilleuse. Après trente-cinq ans d’émissions quotidiennes, on peut dire qu’elles font corps, elle et la radio.

 

France-Culture est issue de la Résistance.-

 

Christine Goémé, est productrice sur France-Culture. Après des études de philosophie, elle rentre à la radio en 1976. Un peu par hasard, beaucoup par amour de l’aventure :

« C’était une opportunité, je l’ai saisie. C’est toujours un peu des hasards tout ça. Et puis ça m’a plu alors j’ai continué. »

 

Du « je » insensiblement, elle passe au collectif…

On a tellement aimé ce qu’on faisait que je dois dire, on s’est vraiment dévoués tous, corps et âme. Le mot dévouement ne convient pas du tout. On a honteusement joui de notre travail et des gens qu’on rencontrait. Du plaisir. J’ai trouvé là, une sociabilité intellectuelle et culturelle. Une espèce de paradis … et j’ai adoré ça. Je fais partie de cette fournée de gens de 68 qui ont fait des études sans objectif précis comme l’enseignement, par exemple ; qui on passé des diplômes un peu comme ça leur chantait ; qui ont suivi les cours qu’ils aimaient, qu’ils avaient envie de suivre etc. sans avoir d’idée précise. Bien entendu, on ne pensait pas à faire carrière ni à s’incruster dans un système, ni dans une procédure d’institution.  France-Culture, c’était parfait pour nous. Vraiment. C’était tout ce qu’on aimait, beaucoup de rigueur … On travaillait pour les auditeurs nuit et jour sans compter. On y était jusqu’à trois heures du matin. La radio, maintenant, ce n’est plus comme ça… (rire) : il y a un plan Vigipirate. Tout est fermé…c’est très différent !  »

 

Un ange passe. Puis deux. Elle revient à son récit :

« Quand je suis arrivé à la radio, j’ai été accueillie par les gens qui ont créé France-Culture après la guerre, dans la mouvance de la Résistance. Cette radio a été faite massivement par des gaullistes et des communistes, il faut bien le dire. Il y avait des gens comme Alain Trutat (qui était pour moi un génie de la radio), ou encore Claude Mettra, Pierre Descargue. Ce sont des hommes qui, pendant la guerre, avaient maintenu la culture contre vents et marées. Sous la botte vraiment. Par exemple Pierre Descargue avait créé une revue défendant l’art moderne, alors conspué par les Nazis… Trutat, lui, avait préservé des relations entre les auditeurs et les poètes de la résistance. Ils aimaient vraiment la radio, contrairement à aujourd’hui où c’est plutôt une manière de faire carrière : ces gens-là ont risqué leur peau pour la culture ! C’était des maîtres… toute cette génération. Ils étaient d’une rigueur et d’une exigence comme je n’en ai plus jamais vues ! Et en même temps d’une ouverture, d’une intelligence absolument exceptionnelles, ça je dois le dire et je leur rends un très grand hommage ! Je les aimais et je les aime encore. Je les aime toujours et pour moi, ils sont la vie même. »

 

Une ferveur qui a subsisté et une épopée qui la nourrit encore. Elle poursuit :

« Ce n’était pas du maquillage ; ce n’était pas un « plus » social, ou mondain… Ce n’était pas le « plus » de carrière, pas de bla-bla… C’était vraiment vital. Ces anciens résistants étaient de la génération de mes parents et ils ont accueilli à bras ouverts celle de 68. Oui, c’étaient des gens magnifiques pour lesquels on avait une admiration sans borne. Ils avaient la qualité qu’il fallait absolument avoir pour faire de la radio. Ils avaient un charisme à toute épreuve. »

 

La radio, c’est partager.-

Et elle enclenche sur la vocation-même de la radio, ce mot magique qui dans sa bouche se pare de merveilleux, se fait à la fois corps et âme :

 

 

« Parce que la radio c’est l’art du partage. Tu as une idée, tu te dis elle est bonne, je vais la partager avec des gens. Voilà. C’est ça la radio ! Grosso modo c’était un lieu de liberté, de pensée, de très grande exigence. Il n’y avait pas de problème de carriérisme ; on n’était pas chez les traders, quoi ! »

 

Sans le vouloir, et sans jeu de mots, Christine avait trouvé sa voie. Je m’étais attendue à ce qu’elle me parle d’elle, mais impossible de dissocier sa vie de l’entité radio. Elle est intarissable. Des mots reviennent inlassablement sur ses lèvres: «merveilleux», «absolument», «partage», «liberté». Ses yeux brillent, elle revoit le long chemin, avec ces êtres d’exception auprès de qui elle a façonné sa personnalité, devenant elle-même partie intrinsèque de la Radio à qui ces hommes ont donné des lettres de noblesse.

 

Nous sommes dans son séjour, assises à la table ovale qui reçoit ses nombreux amis écrivains de fictions radiophoniques. Se vautrant voluptueusement contre mes jambes, son magnifique et indispensable chat noir et blanc. Partout, des murs de livres. Des petites tables surchargées de volumes. La plupart dédicacés. Le savoir de cette femme toute simple est aussi vaste que sa bibliothèque. Le balcon de la fenêtre, royaume de Messire le Chat, plonge sur une des cours intérieures que mystérieusement cet immeuble dissimule.

On respire la culture et le savoir chez Christine Goémé, mais surtout on partage du rire, des anecdotes de vie, de l’amitié. Et du bon vin. Des salades sans huile, assaisonnées de plusieurs sortes de vinaigres avec une pointe de piment d’Espelette.

 

L’amitié. Une des clés pour percevoir Christine dans son authenticité. C’est une femme qui ouvre généreusement sa porte, sa table, son cœur. J’ai ce bonheur d’être accueillie chez elle. Je m’y sens chez moi.

 

« Nous étions plusieurs amis à rentrer ensemble à la radio. Ils y sont tous restés. J’étais avec Gérard Gromer, maintenant à la retraite. Lui, c’était un homme de radio ! Il y a toujours Jacques Taroni, un réalisateur absolument sublime qui fait de très belles émissions… On a commencé ensemble cette aventure tout à fait par hasard en se disant : tiens, la radio c’est bien ! Ça nous plaît, ça nous intéresse… »

 

La dent dure, Christine dénonce la dictature du «jeunisme» qui sévit actuellement.

« Un ami m’a appris hier qu’on vient de lui dire : cette émission, c’est une bonne idée mais on cherche quelqu’un de 30 ans pour la faire… C’est insensé ! Alors qu’à l’époque il n’y avait pas ce genre de chose : les gens travaillaient ensemble, réfléchissent ensemble et puis il y avait ceux qui savaient et qui transmettaient. Oui, il y avait un art de la transmission sur le terrain. 

Trutat, il était quand même spécial. Moi je l’adorais.

Il avait des idées géniales… mais jamais de fric pour les réaliser. Donc on n’était jamais payé ou très peu, ou très mal… ou à peine, de toute façon il ne fallait même pas poser la question parce qu’on était prié, tout de même, de ne pas s’occuper de ces choses ; il trouvait ça obscène…»

 

Elle rêve un peu, se souvient de cet homme qui l’a tant marquée. Alain Trutat (1922-2006). Co-fondateur de France-Culture et réalisateur, démarre à la radio à dix ans, comme comédien. À quinze ans, il est petit reporter à Radio-Luxembourg. Pendant l’Occupation, il est très lié au milieu poétique, très proche de Jean Paulhan, Jean Tardieu et Paul Eluard. A la Libération, il rentre à la Radio française où il s’occupe des émissions littéraires et dramatiques. Il y réalise des émissions poétiques. Dans les années 60, on lui demande de s’occuper d’une réforme des programmes culturels. C’est la naissance de France-Culture. Il crée l’Atelier de création radiophonique en 1961. Pour lui, la radio c’était un des beaux-arts.

C’est ce goût qu’il a transmis à Christine :

«  Il avait des idées vraiment extraordinaires et il ne te disait pas : faut faire comme ci ou comme ça, non !  Il te disait: ça, il ne faudrait pas que ce soit comme ça. En fait, il disait tout ce qu’il ne fallait pas faire, tout ce qui était raide, ce qui s’accrochait au sens comme une moule sur un rocher etc. Et pour le reste débrouille-toi… Il fallait trouver une manière de faire mais c’était merveilleux parce que maintenant justement, la radio c’est un surcroît de sens ; c’est la critique que j’en fais. Et là, ça me dérange. Aujourd’hui, c’est très bien, c’est très propre, c’est très intelligent, c’est très sensé. Bon, ben voilà ! Mais ce qui était marrant, c’était de prendre des risques. »

 

Des risques, Christine en a pris. Elle raconte cette rencontre impossible avec Georges Navel (1904-1993), écrivain d’origine paysanne, qui dès 1920 suit les cours du soir de l'Université syndicale où il côtoie le créateur de la revue Manomètre à laquelle participe notamment Jules Supervielle. Tout en gagnant sa vie comme manœuvre itinérant puis comme correcteur d'imprimerie, il écrit pour L’Humanité et Commune, publie des romans autobiographiques… Au moment de cette rencontre, Georges Navel qui vient de subir une attaque, est dans les Alpes. Christine a accouché deux mois plus tôt mais n’hésite pas à passer 14 heures dans un train, et à se rendre dans la montagne pour le rejoindre sans savoir dans quel état il se trouve, s’il pourra seulement articuler un mot.

Elle est seule avec son équipement qui pèse lourd :

«  J’ai fait cet enregistrement dans une espèce de semi conscience car j’étais claquée. J’ai tendu le micro à Navel avec la trouille au ventre en me disant pourvu que ça marche, pourvu que ce soit bien … »

 

Elle enregistre l’entretien et reprend le train, sans transition. De retour, on écoute la bande. La chargée de réalisation, « une fille tout à fait intelligente » en fait tomber ses ciseaux et elle s’exclame qu’elle n’a jamais vu ça, qu’elle n’a jamais entendu une voix pareille, «c’est magnifique!»

«  C’était un coup de bol surtout que Navel venait de faire un AVC. Pour Trutat, j’avais tenté le coup… Et franchement, je n’ai pas été payée un centime de plus pour le faire. Voilà comment ça se passait… En plus ce jour-là, c’était un dimanche… ! J’y suis allée parce que c’était comme ça ; à la limite je n’ai même pas réfléchi: on y va, basta ! On était tous comme ça. C’était la radio! Alors que maintenant on vous demande des gens célèbres. Il faut interviewer des gens connus. On n’est pas des pêcheurs de paroles : on est des pêcheurs de noms ! Et les petites gens, heureusement qu’on les retrouve dans les documentaires. C’est ce qui fait leur charme d’ailleurs. Des gens qui ont quelque chose à dire, qui ont une vision du monde, une vie, la vie… Et qui sont merveilleux. Et c’est ça qui est bien évidemment. Ce genre de choses se retrouve plutôt dans ce que vous faites, vous, dans Nananews. Des choses un petit peu marginales. »

 

 

Je pense à Evelyne Joly que j’ai rencontrée dans le métro 

 

(http://nananews.fr/fr/debats/voir-tous-les-dossiers-de-nananewsfr/1891-la-double-vie-develyne-joly). Je sais que j’ai de la chance de pouvoir réaliser ces portraits de femmes pour Nananews. 


 

Christine Goémé poursuit :

« Pour moi, la radio, c’est un partage, c’est le maintien de l’oralité. Ce qui m’intéresse ce sont les voix. Une sorte de désert, peuplé de gens anonymes. Je suis toujours étonnée et heureuse de rencontrer des auditeurs qui me disent : on vous écoute… C’est merveilleux, cela veut dire qu’on a quelque chose en commun. Le grand avantage de la radio c’est qu’on ne voit pas ton image. Mais aujourd’hui ce que je reproche à la radio – j’ai beaucoup de reproches à lui faire– c’est de cavaler derrière la télé, alors que précisément ce qui est intéressant et qui donne du corps à la radio c’est la voix. Pas besoin d’être jeune ou vieux, etc. La voix, c’est quelque chose qui va au-delà de l’apparence. Le danger qui nous guette aujourd’hui, c’est l’image car pour faire carrière il faut qu’on t’ait vu à la télé ! L’image fait la loi sur le son. L’image basique. L’image banale et ordinaire commence à anesthésier l’écoute. Au lieu que la langue éclaire l’œil et que l’œil éclaire la langue, l’un fait barrage à l’autre. »

 

Depuis quelques années, Christine, qui s’occupe de fictions, produit également l’émission « L’éloge du savoir¹ ». Elle y présente des cours du Collège de France ²:

« Et j’ai une belle émission sur le savoir. Je suis ravie… Je diffuse tous les soirs, à minuit trente, des conférences du Collège de France. Il y a toujours du monde. C’est une bonne heure. Tu es plus écouté qu’à onze heures du matin… Laure Adler a pensé à moi pour cette émission, elle m’a dit : toi tu aimes le savoir … Donc sous-entendu tu vas transmettre cet amour aux autres. C’est une réaction de femmes de radio qu’elle a eue là. Elle sait que pour moi, le savoir est une aventure aussi. C’est une exploration, une découverte du Nouveau Monde… »

(A suivre)

 

La semaine prochaine, toujours à l’écoute de Christine Goémé, nous verrons en quoi consiste le métier de producteur de radio et ce que représente la radio aujourd’hui.

Mahia Alonso pour Nananews

 

¹Eloge du savoir : Emission radiophonique produite et présentée par Christine Goémé, diffusée sur France Culture du lundi au vendredi (de 0h35 à 1h30). Fréquence : 93.5 (Paris et sa région)

 

² Le Collège de France occupe une situation à part dans la recherche fondamentale et l'enseignement supérieur français.

14 Ce n'est ni une université, ni une grande école. Il ne transmet pas à des étudiants un savoir acquis à partir de programmes définis. Il ne prépare à aucun diplôme. Les 52 chaires de professeurs titulaires couvrent un vaste ensemble de disciplines : des mathématiques à l'étude des grandes civilisations, en passant par la physique, la chimie, la biologie et la médecine, la philosophie, la sociologie et l'économie, la préhistoire, l'archéologie et l'histoire, la linguistique. Le Collège de France peut s'adapter en permanence à l'évolution des sciences et rester ainsi un pôle d'animation de la communauté scientifique.

 

Nota.

Depuis 1978, Christine Goémé a produit sur France-Culture des émissions pour Les Chemins de la connaissance, A voix nue, Le Bon plaisir, Radio Libre, Une vie, une œuvre, La Matinée des autres... Créatrice de l’émission Les Idées en revue (1991-1999) elle a également produit de nombreuses émissions spéciales sur Michel Foucault, Descartes, Aragon, ou encore sur Jacques Lacan, etc.

Certaines de ces émissions ont été éditées : Les Saveurs du savoir, cinq heures sur Roland Barthes ; Vladimir Jankelevitch ou la tentation de penser et l’Immédiat, deux fois cinq heures à partir des cours qu'elle a établis, ainsi que Un homme libre, trois heures d’hommages consacrées à ce philosophe (les archives contenues dans ces émissions ont été rééditées aux éditions Frémeaux & Associés). Et pour les éditions Frémeaux et Associés, elle a choisi et présenté de larges extraits d'une vingtaine de grands philosophes du 20e siècle, regroupés en 6 CD sous le nom d’Anthologie sonore de la pensée française par les philosophes du 20e siècle. Elle produit aujourd’hui, toujours sur France-Culture, L’Eloge du Savoir.

Christine Goémé est présidente de la Commission des Affaires Radiophoniques de la Société des Gens de Lettres de France (SGDL).

M.A

 

 


 



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