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Listen to your heart


Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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ecole chair

sens-interdit ecole chair


L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Tu me voulais tienne, je me suis voulue soumise

Par Marie Panon

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La Meilleure Pub au monde


Regardez, c'est génial

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

-       Fruits et légumes d’automne

-       Les vertus des baies de Goji

Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Le monde.fr

Publié 09.01.2013

Saint-Nazaire : une famille vivait recluse depuis plusieurs années dans un appartement

Une enquête a été ouverte pour soustraction à une obligation parentale après la découverte samedi 5 janvier par les pompiers, appelés pour un malaise, d'une famille avec quatre enfants qui vivait recluse dans un appartement vétuste de Saint-Nazaire depuis plusieurs années.

Les enfants, âgés de 20, 19, 17 et 14 ans, qui selon ces sources présenteraient un retard du développement, vivaient avec leurs parents dans un appartement dans un état d'insalubrité avancé avec des moisissures sur les murs et des plafonds noircis par l'humidité. Des verrous étaient posés sur les portes, côté extérieur.

"Cela fait au moins deux ans que je ne les ai pas croisés, témoigne une voisine citée dans un article du quotidien local Presse-Océan à paraître mercredi. Je pensais qu'ils étaient partis." "On ne croisait plus que le père. Il portait toujours une casquette et baissait la tête", a affirmé au quotidien un autre riverain.

LA FAMILLE "CONNUE" DES SERVICES DU DÉPARTEMENT

Les quatre enfants, un garçon et trois filles, ont été hospitalisés. La mère, âgée de 47 ans et qui avait appelé les pompiers samedi matin en prétextant un malaise pour les faire venir, a été placée en garde à vue lundi et libérée mardi pour rejoindre ses enfants. Un cinquième enfant, une fille aînée qui ne résidait plus au domicile familial, a elle aussi été entendue par les enquêteurs.
Le père de 51 ans a été interné dans un hôpital psychiatrique.

L'office HLM chargé de la gestion de l'appartement où a été découverte la famille a affirmé à Presse-Océan n'avoir eu "aucun signal d'alerte les concernant" et précisé que, quand c'est le cas, l'office fait "remonter les informations à qui de droit : les services sociaux ou la justice". Selon le conseil général de Loire-Atlantique, chargé de l'enfance, la famille était "connue" des services du département, rapporte le quotidien.

 

 

Publié le 09.01.2013
TF1 News

Un astéroïde "frôle" la terre aujourd'hui, un second le 15 février prochain

Asteroid

L'astéroïde Apophis s'approchera de la planète bleue ce mercredi à une distance de 14,4 millions de kilomètres. Le 15 février, un second astéroïde passera, lui, beaucoup plus près : 34 500 km. On pourra même le voir à l'oeil nu.

Les radars de la Nasa sont braqués ce mercredi sur Apophis, un astéroïde de 270 mètres de diamètre qui doit passer à environ 14,5 millions de kilomètres. L'objet a été repéré pour la première fois en 2004. L'objet - baptisé du nom d'un démon dans la mythologie égyptienne - avait alors donné des sueurs froides aux spécialistes qui scrutent le ciel à la recherche de ces menaces surgissant du fin fond de l'espace. Les premiers calculs indiquaient une probabilité de 2,7% pour qu'il percute la Terre de plein fouet en 2029...

Tout risque de catastrophe a depuis été écarté par des calculs plus précis. Mais "il y a encore un minuscule risque d'impact" le 13 avril 2036, moins d'une chance sur 250.000, selon la Nasa.

Le 15 février un astéroïde visible à l'oeil nu 

La plus grande partie des nouvelles données ayant permis de recalculer l'orbite d'Apophis provient d'observations effectuées par l'astronome Dave Tholen et son équipe de l'Institut d'astronomie de l'Université de Hawaii. Mercredi, il sera possible d'observer Apophis en temps réel sur le site Slooh.com à partir de 1 heure du matin jeudi, accompagné de commentaires et de réponses aux questions du public par le président de Slooh, Patrick Paolucci. Slooh a des télescopes dans les îles Canaries pour ces observations.

L'astéroïde 2012 DA14 est plus petit qu'Apophis (57 mètres de diamètre) mais il va passer bien plus près de nous le 15 février: 34.500 km d'altitude, ce qui signifie qu'il va traverser l'orbite des satellites géostationnaires.


"Il s'agira du plus proche survol d'astéroïde qui ait été prédit", explique Mark Bailey, directeur de l'Observatoire d'Armagh, en Irlande du Nord.
"Il va passer tellement près que même les astronomes amateurs pourront l'observer, peut-être même avec de simples jumelles", précise-t-il.



 

Publié le 05.01.2013

Slate.fr

Inde: le sexe comme champ de bataille

Le viol et la mort d'une étudiante indienne viennent s'ajouter aux exemples du problème fondamental et viscéral de l'Inde: le rapport au corps de l’autre et à l’intimité.

Inde

 

[J'ai volontairement illustré ce billet de sculptures érotiques hindoues et jaïns des temples de Bhubaneshwar (Orissa), Khajuraho (Madhya Pradesh) et Ranakpur (Rajasthan). Elles sont là pour rappeler à chaque étape que la sexualité ludique et détendue est une réalité des dieux en Inde. Pas des hommes.]

On te dira peut-être que le cricket est le sport national de l’Inde…

Aujourd’hui, le viol d’une étudiante indienne et son décès font couler de l’encre. Et je suis consternée par ce que je lis et vois: si l’on exclut d’office les articles et reportages se complaisant dans la description du fait divers et de témoignages corroborant l’idée de «l’Inde, pays du viol», ceux qui tentent d’aller plus loin restent au ras des pâquerettes.

Soit parce qu’ils se contentent de lier frustration et sex ratio déséquilibré, soit parce qu’ils jouent l’explication culturelle inepte (et je pèse mes mots) de la pudibonderie victorienne laissée par les Britanniques, soit parce qu’ils se contentent de traduire les articles d’intellectuels et experts indiens qui eux, surtout eux, n’iront jamais gratter le problème de fond. Ils n’y ont aucun intérêt.

Parce que le linge sale, ça se lave en famille. Surtout les slips.

Il suffit juste de vivre en Inde pourtant. De lire les journaux, d’écouter les gens parler, de les observer se regarder, se toucher, se vêtir. De lire une abondante littérature et des rapports émanant des institutions indiennes elles-mêmes. Et d’être terrifié. En 2007, 53% des enfants indiens interrogés dans ce rapport avaient subi des abus sexuels…

Le cricket, toujours sport national?

Alors voici peut-être un des sujets qui me tient le plus à cœur à propos de l’Inde, qui me remue et m’exaspère à la fois. Le rapport au corps et au sexe, l’effarante dépossession de soi quand on vit dans ce pays, sa désensualisation extrême, l’indigence sexuelle d’un pays qui brandit le Kâmasûtra comme un de ses chefs-d’œuvre.


Inde

Car, n’en déplaise aux promoteurs d’une Inde en carton-pâte, l’Inde est aussi sensuelle qu’un goulag sibérien.

Alors les médias occidentaux de s’engouffrer avec fracas dans la perspective qui-vend-bien: par manque de temps et d’intérêt pour l’Inde, ils font de ce viol l’exemple-type du triste état de la condition de la femme dans ce pays et les manifestations sont la preuve qu’un graaaaaaaand mouvement de fond est en train de secouer la société indienne. Comment dire… Mouahah. Et c’est un rire triste. Malheureusement.

Cette idée qu’une quelconque manifestation en Inde pourrait changer ce pays prouve que rien n’a été compris. Je l’avais souligné en août 2011: nos médias se rengorgeaient de Anna Hazare et d’un possible Printemps indien (on l’attend toujours d’ailleurs), faisant par là preuve d’une méconnaissance absolue des mécanismes politiques de ce pays et surtout de l’apathie extraordinaire de sa population.

Car 5.000 personnes qui manifestent en Inde, ce n’est rien. Même 50.000 personnes qui manifestent en Inde, ce n’est rien. Dans un pays d’1,2 milliard d’habitant où 70% de la population est rurale, engoncée dans des relations sociales, politiques, médicales et familiales empreintes de religion et de superstition, dans un pays dépolitisé au possible (et notamment son élite!) où le grille-pain offert par tel parti est la seule motivation pour aller voter, à moins que ce ne soit le biryani promis par la municipalité, la très grande majorité des Indiens n’est en rien concernée par ce qui touche la nation. Si ce n’est le cricket. Alors… un mouvement qui rassemble un nombre ridicule de participants… dans quelques rares villes… sur un thème qui touche aux femmes… sur un thème qui touche au sexe…?

Cela n’aura malheureusement aucune répercussion de fond sur l’Inde.

Alors quoi?

Je ne vais pas rapporter de chiffres, ni retracer le scénario infâme, ni vous rapporter les rebondissements grotesques (même si aucun n’est surprenant, effets-de-manches du gouvernement, révélations scabreuses savamment distillées, refus des avocats de défendre les déjà-coupables, appels à la peine de mort toujours très prompts) et je ne vais pas décortiquer les cris d’orfraie d’une partie de la population qui, tout à coup parce que les caméras du monde sont là, s’indignent de l’horreur mais qui, le calme revenu, n’en aura toujours rien à faire que la maid rentre à pied seule le soir. Parce qu’en Inde, le problème n’est pas le viol des femmes. Il n’est pas non plus celui du statut de la femme. Non plus que celui du viol. Le problème fondamental et viscéral de l’Inde est le rapport au corps de l’autre et à l’intimité.

Et les journaux m’ont appris qu’un phallus était avant tout en Inde un instrument de douleur plutôt qu’un instrument de plaisir. Shiva, le phallus sur lequel repose le monde indien, n’est dressé que pour détruire.

J’ai le souvenir d’un corps une nuit dans une rue de Bombay. Deux policiers discutent, le corps gît sur la route à quelques mètres. Un jeune homme, chemise bordeaux, face contre terre en un angle bizarre. Le pantalon aux genoux. Fesses à l’air. Passage à tabac, viol, jeté d’une voiture. Le regard ne peut se détourner, ne peut ignorer, à la fois la mort et la nudité de la partie inférieure du corps.

J’ai cherché dans les journaux le lendemain, le surlendemain, aucune mention. Et pourtant, les faits divers quotidiens de l’Inde, par centaines, te permettent d’échafauder toutes les hypothèses… au mauvais endroit au mauvais moment, règlement de compte, mafias, voisins, amis, famille, policiers… Ce jeune homme n’est qu’un des milliers de cas. Un des millions de cas de viols, d’abus, comme tu en lis tous les jours dans les journaux.

Des femmes, des adolescents, des enfants, des bébés. Il n’est pas besoin d’aller à la page des chiens écrasés ou des intouchables humiliés pour trouver ça: la première page suffit. Les encarts se succèdent, chaque jour. On a retrouvé Surya, 2 ans, violentée par son cousin. Ramesh, 12 ans, a décidé de porter plainte contre son employeur. La maid d’un couple de tel quartier huppé a volé ses patrons en représailles des attouchements que l’obligeaient à subir le père et le fils de la famille depuis des années, ainsi qu’à sa soeur.

Alors non: c’est une erreur de se cantonner «seulement» au viol de cette jeune femme. C’est une erreur de croire qu’on a là à faire à des violeurs pathologiques, aisément distincts des autres, et que seules les femmes sont victimes.

J’ai souvent raconté les frottements volontaires, les attouchements dans les rues, les gestes d’agression dans les moyens de transports, les rues, les magasins mêmes!, ou les téléphones portables brandis pour photographier une entrejambe, des fesses, des seins… même quand la femme porte tunique large et pantalon ample.

Quand des photos volées de bretelles de soutien-gorge paraissent sur des sites pornos, quand les jeunes femmes ont peur de prendre des taxis ou des rickshaws le soir, quand des hommes d’un certain rang social caressent tes pieds dans l’avion, il faut se poser de réelles questions non plus sur des cas pathologiques mais sur une culture entière.

L’Inde est un pays où l’intime n’a pas sa place, c’est un lieu de violence et de ricanements. La très grande majorité des gens défèquent et pissent dans les rues et les bas-côtés au vu et au su de tous. L'Inde est un pays où cette même population voit parents et enfants partager le même lit, les grands-parents à quelques mètres, où une majorité de femmes (80% dans les bidonvilles) ont des infections urinaires permanentes, où l’on baise habillés, où baiser c’est procréer avant tout?

Lire chaque jour l’encart Sexologie des journaux indiens est une descente aux enfers. Ecouter les jeunes hommes et femmes des classes moyennes ricaner à 25 ans au mot «pénis», être stupéfait que des hommes d’affaires aisés s’esclaffent en parlant de sexe de manière réellement sale (et pourtant je ne suis pas bégueule), se voir proposer des dizaines et des dizaines de fois des rapports sexuels dès la troisième question…

L’interdit et la culpabilité sont les maîtres-mots. On vendra les héroïnes pulpeuses sans oser prononcer tout bas le mot «sexe» et les femmes enceintes sont cachées. Pureté et honneur sont quasi divinisés, aux dépens de toute autre notion, et notamment la compassion et la solidarité. Car au fond celui ou celle qui a été violé(e) l’a un peu cherché, et si c’est un enfant, un adolescent… il a de toute manière été sali et rien ne pourra racheter sa pureté.

Souvenez-vous de Rama, le roi par excellence de l’Inde, l’avatar de Vishnu : les hindous célèbrent son retour triomphal lors de Diwali et d’aucuns se plaisent en Occident à le célébrer aussi mais pleurent sur la condition féminine en Inde… C’est ce même Rama qui, parvenant à ramener sa femme enlevée par Ravana, la répudie au final ! Car malgré les protestation de Sitâ, il ne peut être totalement sûre qu’elle est… pure. Elle a été enlevée, regardée, désirée par le monstre? Elle l’a un peu cherché au fond. Alors salie ou non, elle est de toute manière paria. Et je n’utilise pas ce terme sans raison.

Alors le sexe, frustré, est vécu hors de tout cadre qui permettrait de l’apprivoiser sans culpabilité (masturbation, érotisme, pornographie –interdits sur le territoire indien–, sexualité hors mariage, homosexualité etc.) ce qui fait du sexe une exigence permanente. Une guerre. Et le trophée est à saisir n’importe quand, n’importe comment, une photo volée ou une main baladeuse, ce sera toujours ça de pris.

La toile porno amateur indienne est un gouffre d’Occidentales à moitié nues sur les plages goanaises et de matrones en sari transparents. Si l’on se livre à un calcul, terrible… en 2007 53% des enfants indiens ont subi des abus sexuels? Alors gageons qu’il y ait eu des progrès sur les 20 années précédentes… donc la génération de 1980 aurait subi 60% d’abus? et celle de 1970, 75%? Alors tout un chacun en Inde a subi de près ou de loin un abus, en a été témoin et fait perdurer une conception de la sexualité soit tronquée, soit craintive, soit frustrée, soit violente.

Ce que rapportent les journaux chaque jour n’est que la pointe émergée de l’iceberg. Et le viol des femmes n’est malheureusement qu’une partie infime du problème du sexe en Inde. C’est l’intégrité de son corps et du corps de l’autre qui est le problème fondamental, et les enfants, adolescents, femmes et hommes doivent lutter pour la préserver.

Alors, une jeune femme meurt à la suite d’un viol collectif particulièrement barbare. And so what ? Pour paraphraser Lampedusa, tout changera en Inde pour que surtout rien ne change.

On glosera sur les responsabilités (société brahmanique, religion hindoue, zénanas moghols ou pudibonderie britannique) alors qu’elles n’importent plus. Il arrive un moment où il faut se regarder en face, et quand il s’agit d’une évolution culturelle majeure seul un gouvernement volontaire peut l’imposer. Aujourd’hui, au lieu de mesurettes qui font ricaner (plus de femmes policiers? la publication des noms des violeurs? la peine de mort pour les violeurs?), la seule solution pérenne et évidente pour l’Inde est une éducation sexuelle obligatoire pour tous dès l’école primaire.

Oui: dès l’école primaire, je pèse mes mots. L’Inde a besoin de libérer la parole de ceux qui sont le plus à même de souffrir des abus et qui seront ceux qui craindront le plus de parler. Les enfants, les pauvres, les dalits (intouchables), les femmes. Parler de pénis, parler de vagin, parler de masturbation, rire, ricaner, découvrir, dédramatiser, comprendre qu’il y a du plaisir mais aussi des interdits notamment quand il y a obligation, pouvoir, chantage et secret.

Les médias occidentaux aujourd’hui, plutôt que d’aller chercher des témoignages tragiques et pathétiques, pourraient aller demander aux parents indiens comment ils parlent de sexe à leurs enfants. Comment beta, le fils chéri, le fils adoré, voit-il ses parents traiter Priya la maid et les autres femmes de service. Comment les parents vivent leur sexualité et comment ils prennent soin d’entourer de secret ou de ricanements bêtes tout ce qui a trait au sexe, renforçant par là frustration, fantasmes et craintes.

Le problème fondamental que soulève cette tragédie, qui n’est qu’une parmi des milliers, c’est celui de l’abus de la violence physique et symbolique quand il s’agit du corps d’autrui en Inde. De l’inceste, de l’abus sexuel, de droit de cuissage sur les domestiques, du viol dans les rues et du viol dans les chambres. De l’abus de pouvoir, de l’abus de puissance, sur ceux que l’on sait pouvoir écraser. Ce qui rejoint l’autre grande problématique de l’Inde.

Les gens y sont généralement doués pour donner de la voix et rouler des mécaniques. Pour s’offusquer quand les caméras sont là. Pour tripoter tes seins comme si de rien n’était dans un bus ou glisser la main entre tes cuisses dans une rue.

En revanche, pour parler en adulte de sexualité et faire cesser des comportements d’adolescents TRES attardés qui vont parfois jusqu’au crime ?

Là ils n’ont plus de couilles.

Chouyo

Note : le titre est une référence à la pièce de l’auteur roumain Matei Visniec, Du sexe de la femme comme champ de bataille.



 

09.01.2013
20minutes.fr

Vidéo: Leap Motion, un bon de géant pour l'interface homme-machine

CES 2013 - La startup présente à Las Vegas une version quasi-finale de The Leap, un périphérique qui fait passer Kinect pour un jouet...

leapmotion

 

De notre envoyé spécial au CES

Nous suivons Leap Motion depuis ses débuts, en mai 2012. Après une démo convaincante à San Francisco cet été, l'entreprise passe aux choses sérieuses au CES de Las Vegas, avec la présentation d'une version quasi-définitive de The Leap, un périphérique annoncé 200 fois plus précis que le Kinect de Microsoft. Et surtout beaucoup moins cher, à seulement 70 dollars.

Les premiers exemplaires, disponibles en pré-commande dans le monde entier, seront expédiés d'ici la fin du premier trimestre 2013. Leap Motion en a déjà fourni 12.000 à la communauté des développeurs, qui planchent sur des apps dans des domaines aussi variés que le jeu, l'art ou la musique, comme cette harpe virtuelle mise au point en quelques heures.

Assez précis pour jouer à Jenga

De la taille d'un briquet, The Leap se branche au port USB du PC. Les caméras suivent les mouvements en rapproché, jusqu'au 1/100 de millimètre, dans un cube d'environ 60 cm de côté. Plus que la précision, qui permet par exemple de jouer à Jenga ou Fruit Ninja, c'est la réactivité qui impressionne. Et parce que The Leap transforme n'importe quel moniteur en écran tactile, les développeurs devraient en tirer parti pour naviguer dans Windows 8 (zoom à deux doigts, pointage précis etc).

Pendant que nous étions sur le stand, de nombreux professionnels, dont un émissaire de Renault, sont venus prendre un premier contact. Une seule question sur leurs lèvres: avec qui faut-il parler pour intégrer cette technologie? Asus sera le premier à proposer The Leap en bundle avec certains de ses portables, avant de l'intégrer directement au hardware d'ici la fin de l'année si tout va bien.

Avec plus de 30 millions de dollars levés lors du dernier tour de table, et l'arrivée d'Andy Miller, un ancien cadre d'Apple à la présidence, Leap Motion est bien parti pour faire de Minority Report une lucrative réalité.

Mike Zagorsek, le vice-président en charge du marketing, présente The Leap à 20 Minutes:


La révolution Leap Motion par 20Minutes



 

09.01.2013
20minutes.fr

 

«Paradis: Amour»: Margarethe Tiesel est «fière de l'avoir fait»

Paradis


CINEMA - L'actrice se dévoile dans son dernier film...

Margarethe Tiesel est une héroïne. Et pas seulement dans Paradis : Amour, le nouveau film d'Ulrich Seidl (Dog Days). Il fallait un courage incroyable à cette actrice de théâtre pour accepter de camper une «sugar mama», femme mûre découvrant l'amour tarifé auprès de jeunes Africains. C'est au Festival de Cannes, où on regrette que sa performance n'ait pas été couronnée, qu'elle s'est confiée à 20 Minutes.

Comment Urich Seidl vous a-t-il convaincu d’accepter le rôle?

Il n’a pas eu à me convaincre. Quand un cinéaste de ce calibre s’intéresse à vous, vous dites oui tout de suite. C’est seulement plus tard que la peur s’installe.

Etiez-vous effrayée par les scènes de sexe?

Pas par la nudité, car je n’ai pas d’ego mais par l’implication psychologique qu’elles représentaient. La séquence où j’apprends à un jeune homme à me faire l’amour a notamment été très difficile. Seidl voulait qu’elle soit parfaitement réaliste, mais je ne me plains pas. J’avais vu ses films précédents et je savais ce qui m’attendait.

Comment décririez-vous la femme que vous incarnez?


Elle est fragile et a besoin d’amour. Elle croit le trouver au Kenya alors qu’elle pensait en avoir fini avec sa vie de femme. Je peux comprendre ce qu’elle ressent même si je n’ai jamais payé personne pour coucher avec moi.

Qu’avez-vous ressenti pendant la projection?

Voir mes bourrelets sur très grand écran n’était pas une partie de plaisir, mais je suis fière d’avoir fait ce film. Je suis ravie que ma fille puisse le voir et j’espère qu’il aidera d’autres femmes à se sentir décomplexées. Ras le bol de la dictature de la perfection. Nous avons toutes le droit d’exister!

La bande annonce:

 

 

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envue

Tango argentin… et maternité!

envuejanvier2015

Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.

Lire et écouter

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causedesfemmes droite

Les femmes sont magnifiques et la grâce insoumise !

Par Louise Gaggini

01lesinfosdelaredaction

Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…

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Ma chaîne de théâtreluccini

Fabrice Luchini & Pierre Arditi

dans Art de Y.Reza

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Inferno ou l'enfer de Dante

de Dan Brown

 

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Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.

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30 Décembre 2015 par redaction
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30 Décembre 2015 par redaction
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