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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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La Meilleure Pub au monde


Regardez, c'est génial

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

-       Fruits et légumes d’automne

-       Les vertus des baies de Goji

Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Saveurs et plaisirs: le whisky

There are no translations available.


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«Je ne crains pas de bousculer l'ordre établi, si en créant un nouveau style de whisky, je tends vers la perfection» (John Glaser)

Dans un marché du whisky dominé par une surabondance de blends de qualité standard fabriqués et commercialisés par de grands groupes internationaux, nous avons voulu partir sur les traces du patrimoine et de l'histoire de cette eau-de-vie qui se porte bien en se mondialisant.

Si le whisky occupe encore de nos jours une place à part au sein de l'univers des spiritueux haut de gamme, c'est sans doute parce qu'il n'a jamais cessé de communiquer et de se remettre en question...

Avec 180 millions de bouteilles vendues en 2008, la France est dans le trio de tête des pays consommateurs de whisky et le premier marché du monde pour les single malts. Le whisky est le spiritueux le plus consommé en France loin devant les apéritifs anisés. Pour nous, le monde du whisky n'est pas seulement celui de l'inco

whisky une

ntournable Salon Whisky Live dont la dernière et 7e édition a été un succès au Palais de Tokyo à Paris du 25 au 27 septembre 2010. Il a d'abord le charme et le parfum de l'Ecosse, ses Highlands, son monstre du Loch Ness et de ses châteaux hantés...

Le triangle d'or du whisky

Depuis notre visite guidée en 1986 sous la houlette de l'arrière petit fils de William Grant, en compagnie de l'écrivain Denis Tilliniac, à la distillerie Glenfiddich à Dufftown dans le Speyside, véritable « triangle d'or » du whisky avec des notes fruitées et leur caractère rond. C'est notre madeleine de Proust à l'accent écossais, notre patrimoine whisky à nous.... Avec son histoire familiale et son lieu magique, sa salle aux vingt huit alambics de formes différentes et son eau si pure qui coule dans la rivière près de la distillerie.

 

Depuis sa création en 1886 par le dynamique William Grant, Glenfiddich est restée dans le giron de la même famille. Pourtant, ses débuts furent mouvementés. Fondée en plein boom de l'industrie du whisky, Glenfiddich faillit ne pas se remettre de la faillite des frères Pattison, sulfureux blenders de la ville de Leith (Edimbourg) et clients principaux de la distillerie. Avec à propos et plein de vaillance, William Grant ne baisse pas les bras devant ce coup du sort et décide de réagir en créant son propre blend : Stand Fast. Et en 1963, la famille Grant est l'un des premiers à commercialiser son single malt Glenfiddich. Un an après, la fameuse bouteille triangulaire, reconnaissable entre toutes, qui fut introduite dès 1957 pour le bland Stand Fast, est utilisée pour Glenfiddich puis pour le blend Grant. Depuis Glenfiddich est devenu le single malt le plus vendu dans le monde tout en jouant la carte de la qualité et de l'authenticité.

Si avec plus de quatre-vingts dix distilleries de malt en activité réparties à travers les îles et le Mainland, sans oublier une petite dizaine de distilleries de grain à proximité d'Edimbourg et de Glasgow, l'Ecosse concentre le plus grand nombre de distilleries au monde. Mais l'Irlande, les Etats-Unis et le Japon sont aussi des producteurs de whisky qui ont droit de cité... et font désormais partie de « la bande des quatre ».

Les dix dernières années ont été marquées par l'émergence de nouveaux pays producteurs de whisky de tradition. A l'instar des vins du Nouveau Monde, on peut ici parler de whisky du Nouveau Monde, notamment l'Angleterre (Saint George), le Pays de Galles (Penderyn), la suède (Mackmyra), l'Inde (Amrut), l'Australie (Lark) sans compter le Canada (Glenora) qui renaît peu à peu de ses cendres, tel Phénix « Glen ».

La France peut ainsi se flatter de posséder quelques distilleries notamment en Bretagne et en Champagne mais leur production artisanale élaborée à base d'orge maltée reste relativement anecdotique, mais pas sans intérêt. En octobre 2002, la distillerie des Menhirs, située à Plomelin dans le Finistère, crée l'événement en lançant le premier whisky français à base de blé noir. Baptisé Eddu (ed pour « grain » et du pour « noir »), il constitue un nouveau style, au même titre que le single malt, le pure pot style, le bourbon ou le rye.

A partir de cette céréale symbole du terroir breton, la distillerie des Menhirs élabore deux types de whiskies. Un de type single malt produit à partir de 100% de blé noir malté et l'autre de type pure pot still produit à partir de 80% de blé noir malté et de 20% non malté. Distillé deux fois, le new spirit de la distillerie est élevé en fût de chêne français du Limousin ayant préalablement servi à l'élevage de cognacs.

Entre légende et réalité

La légende veut que ce soit d'Irlande que la distillation se soit répandue grâce à Saint Patrick au Ve siècle après J.C., puis les moines missionnaires garants de la tradition du brassage de la bière. En 1170, le roi Henry d'Angleterre et ses troupes (qui ne boivent pas que de l'eau et ont le gosier en pente !) envahissent l'Irlande et adoptent la coutume locale de consommation d'ulsga beatha. Le mot whisky serait né d'une déformation de langage : « ulsce beatha » se métamorphosant au fil des siècles et alors que la technique de la distillation se propage à travers toute l'Ecosse et l'Irlande, en « Ulsce », « fuisce », puis enfin whisky (whiskey aux Etats-Unis).

Dès la fin du XVIIIe siècle, l'industrie du whiskey se structure aux Etats-Unis et marginalise les petites distilleries qui continuent à distiller illégalement. Né en Virginie en 1743, le père Baptiste Elijah Craig est perçu comme « l'inventeur » du bourbon. Il en est de même en Ecosse et en Irlande où de puissantes familles de distillateurs – les Haig et les Stein installées dans les Lowlands en Ecosse, ou bien les Power et Jamesson en Irlande – dominant les marchés. La distillation clandestine vit ses dernières heures comme la contrebande d'alcool laminée par le marché désormais florissant du whisky... qui a su trouver son public de consommateurs fidèles.

La guerre de Sécession qui éclate aux Etats-Unis en 1861 divise les Etats producteurs de whiskey : la Pennsylvanie, le Kentucky et le Maryland. Afin d'obtenir un produit constant, les revendeurs de whiskeys, épiciers, marchands, n'hésitent pas à mélanger la production de plusieurs whiskeys, qu'elle soit issue d'alambic à pot ou à colonnes et à étiqueter leur produit « straight whiskey ».

L'Ecosse et l'Irlande suivent le mouvement et découvrent également la pratique de l'assemblage. En 1850, les distillateurs de whisky de malt, qu'ils soient écossais ou irlandais, s'inquiètent de l'augmentation du nombre de distillateurs utilisant le coffey still, un alambic révolutionnaire à la fois plus économique et rapide pour la distillation.

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Au nom de la loi

A partir des années 1870, le besoin de définir le whisky et de poser son cadre législatif se fait de plus en plus pressant. L'engouement dont fait l'objet le whiskey bourbon, attisé en partie par l'épidémie du phylloxera qui sévit en Espagne et en France depuis le milieu des années 1860 et a réduit à néant la production de cognac, exacerbe les velléités entre distillateurs écossais et irlandais et plus encore entre distillateurs « à pot » et distillateurs « à colonnes ».

Après moult péripéties et rebondissements cocasses et suite aux protestations répétées de la Scottish Malt Distillers, en février 1908, le gouvernement britannique annonce la constitution d'une commission royale chargée de statuer chargée de statuer sur la question cruciale sur ce qu'est le whisky, c'est-à-dire réussir à donner une définition à la fois cohérente et légale de cette eau de vie qui suscite bien des convoitises et des contrefaçons En juillet 1909, celle-ci annule le jugement de la cours du bourg d'Islington qui avait condamné en novembre 1905, dans le nord de Londres, le patron du pub et le responsable d'une société de négoce de vins et spiritueux mis en cause pour la vente d'un whiskey composé de 90% d'alcool de riz et de 10% de whisky de malt. Et elle donne sa définition officielle de l'Irish Whiskey et du Scottish Whiskey.

A l'instar de la définition du whisky en Ecosse et en Irlande, la définition du bourbon occasionna de longs débats au congrès américain. En 1907, une loi stipule que tout alcool de grain, autre que le straight whiskey, doit être étiqueté avec une mention spéciale « assemblage », « imitation » ou bien « mélange ». Pour le consommateur, le message est clair : tout ce qui n'est pas straight whiskey n'est pas du whiskey.

Marker's Mark classé National Historic landmark

En 1953, Bill Samuel Sr, descendant de Robert Samuel immigrant irlando-écossais de troisième génération arrivé en 1784 dans le Kentucky, fonde officiellement Marker's Mark à Loretto, Kentucky.

Produit de façon artisanale, en petites quantités dans une bouteille stylisée et bouchée à la cire rouge, avec de l'eau d'un lac alimenté directement par une source, ce straight whisky (sans e en hommage aux origines irlando-écossaise de son fondateur) au dessus de tout soupçon est l'un des meilleurs bourbons du Kentucky. Son mash (goût aigre) composé de maïs, d'orge et de blé rouge d'hiver, doux et suave, font de Marker's Mark un bourbon raffiné et moelleux, mais néanmoins droit et franc de caractère.

En 1980, sa distillerie est classée National Landmark, ce qui en fait la première distillerie reconnue au titre de patrimoine national. Un reportage du Wall Street Journal la consacre en 1983 définitivement dans tout le pays. Parmi toutes les distilleries de bourbon du pays, Marker's Mark est la plus ancienne qui soit encore en activité et sur son site d'origine, si l'on en croit le Guiness des Records. Elle fait désormais partie du patrimoine industriel du Kentucky.

Whisky made in Japan

Comme la pensée qui se veut globale, le whisky n'est plus seulement anglo-saxon et se mondialise, notamment au Pays du Soleil Levant.

Après presque deux ans d'études en Ecosse sur la production du whisky pour le compte de son employeur Settsu Shuro, Masataka Taketsuru retourne au Japon accompagne de sa jeune épouse écossaise Rita. En juin 1923, Taketsuru se lance sous l'impulsion de Torii dans la construction et la gestion de la première distillerie japonaise, pour laquelle il préconise le site d'Hokkaido. Le décideur Torri voit dans le site du village de Oh Yamazaki, situé à proximité d'Osaka, bien plus d'atouts. La première distillerie du Japon, Yamazaki, y sera construite en novembre 1924.

En 1929, le Japon découvre avec stupéfaction son premier whisky, Suntory Shirofuda. C'est un échec. Elaboré dans la pure tradition écossaise, ce whisky tourbé ne convient pas au palais des Japonais. Taketsuru est démis de ses fonctions et terminera son contrat en tant que manager de la brasserie du groupe.

En 1934, Taketsuru quitte Kotobukiya Ltd et fonde sa propre société qui deviendra Nikka en 1952. Il se rend sur l'île d'Hokkaido et y construit sa première distillerie qu'il baptise Yoichi.

Aujourd'hui, deux groupes se partagent le marché : le géant Suntory, propriétaire de la distillerie Yamazaki et créateur du célèbre blend Hibiki, et le groupe Nikka, propriétaire des distilleries Yoichi et Miagikyo. En 2001, à la surprise générale, le single malt japonais Yoichi 10 ans, issu d'un fût unique et laissé à son degré naturel (62,2%), remportait pour la première fois la récompense Best of the Best décernée par un jury international d'experts et de journalistes spécialisés.

Des whiskies peu conventionnels

C'est en 2000 que John Glaser lance sa propre société d'assemblage, Compass Box Delicious whiskies après avoir débuté dans le monde du vin et rejoint l'équipe de Johnnie Walker en 1993 en tant que marketing manager pour les Etats-Unis. Avec un souci de l'excellence, il va vite redonner ses lettres de noblesse à un art vieux de plus de 150 ans, celui s'assembler les whiskies.

Prenant à contre-pied le marché du whisky, marqué à l'époque par l'augmentation rapide des single malts écossais, Glaser lance le ler novembre 2001 trois Scotch whiskies issus d'assemblages : un blend (Asyla), un vatted malt (Eleuthera) et surtout un vatted grain (Hedonism) qui constitue une première en bouteille. Car aucun whisky de grain n'avait depuis 1906 suscité autant d'intérêt. Son ouverture d'esprit lui permet d'innover et de remettre en question les schémas établis. Les dernières créations de John Glaser dont l'infusion au whisky, Orangerie, que nous avons eu le privilège de goûter, témoigne de cet esprit créatif en recherche permanente de nouvelles sensations.

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Une alchimie précise pour élaborer un whisky

Le whisky est une eau-de-vie obtenue par la distillation d'une ou plusieurs céréales alors que le cognac et l'armagnac sont obtenus à partir de raisins, le calvados à bas de pommes (et de poires) et le rhum à base de canne à sucre. Grosso modo, on peut dire que le whisky est une eau-de-vie de céréales fermentées, de bière en quelque sorte, au même titre que le cognac est une eau-de-vie de vin ou le calvados une eau-de-vie de cidre.

Les ingrédients du whisky sont donc essentiellement des céréales (notamment l'orge), de l'eau et de la levure, le tout passant dans différentes cuves et filtres puis dans des alambics avant de vieillir en fûts.

Etape essentielle et caractéristique des single malts, le maltage a pour but de transformer et de simplifier l'amidon en sucres moins complexes afin de favoriser la fermentation qui permettra de transformer les sucres en alcool. La tourbe confère à la plupart des whiskies leurs arômes fumés et médicinaux. La qualité de l'eau joue un rôle primordial lors du brassage. Loin d'être un simple élément utile à la production du whisky, l'eau intervient à toutes les étapes de sa fabrication, influençant, bien que cela soit difficile à estimer précisément – son profil aromatique par ses caractéristiques.

Dans la salle des alambics tout en cuivre, on en distingue deux sortes dans les distilleries de malt : les wash stills et les spirit stills qui, en règle générale, fonctionnent par paire. A quelques exceptions près, la chauffe des alambics est aujourd'hui effectuée à la vapeur, ce qui permet de contrôler parfaitement la température, puisque l'on chauffe le liquide à l'aide de serpentins. On utilise la double distillation (Ecosse), la triple distillation (Irlande), voire la double distillation et demie (single malts Springbank et Benrinnes). La distillerie Bruichladdich s'est lancée dans l'aventure du single malt obtenu par quadruple distillation. On peut même aller parfois jusqu'à cinq fois pour obtenir les caractéristiques souhaitées par le maître distillateur. C'est notamment le cas de la distillerie Mortlach, dont le distillat est en moyenne distillé 2,8 fois.

Une fois refroidi et condensé , le new make spirit est contrôlé et recueilli tout au long du processus de distillation dans le spirit safe ou coffre à alcool. Seuls 20% environ de l'alcool produit par la distillerie sert à la production de whisky, la fine fleur du distillat.

Un single malt doit vieillir au moins trois ans en fût exclusivement de chêne pour obtenir son appellation whisky, mais il peut vieillir jusqu'à 70 ans. On estime qu'environ 60% des arômes du whisky proviennent du bois dans lequel il a vieilli. Il doit titrer au minimum 40% vol. La quantité de whisky évaporé (eau et alcool) ou part des anges représente environ 2% de perte par an. A tel point qu'en été, à Dufftown ou ailleurs, il faut porter des masques pour ne pas trop respirer les vapeurs d'alcool dans la distillerie.

La plupart des distilleries appartiennent à des groupes internationaux de vins et de spiritueux tels Pernod Ricard, Diageo, Whyte & Mackay ou Edrington qui multiplient les événements promotionnels autour de leurs whiskies. Ainsi, Kacper Hamilton, jeune designer talentueux surtout connu pour sa collection de verres correspondants aux sept péchés capitaux, des ballons offrant sept façons différentes de « s'hydrater », réinvente pour Ballantine's 12 ans d'âge le rituel de la dégustation du scotch whisky. Il met en scène un projet original et visuel en imaginant un nouveau verre de dégustation et une carafe mettant en valeur le produit, afin de « célébrer l'équilibre de ce whisky en sollicitant chacun de nos sens au moment de la dégustation. »

Ce qui n'empêche pas sur ce marché à la fois porteur et concurrentiel bon nombre de distilleries indépendantes, dont certaines appartiennent de longue date à des familles (Balvenie, Glenfiddich, etc.) de connaître une belle progression, telles Arran, Benriach, Glendronach et Kilchoman.

Avec un pragmatisme bien anglo-saxon, le monde du whisky a su ainsi se diversifier et se mondialiser. On est loin du temps où lorsque l'écrivain américain Mark Twain dégustait son extraordinaire whisky, il parlait par mimétisme écossais. Aujourd'hui, il pourrait parler couramment japonais, gallois ou indien.

Christaian Duteil

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Pour en savoir plus

Marlène Léon et Alexandre Vingtier « Whisky l'indispensable » Paris, Flammarion, 2009 et son site www.whisky-indispensable.com

Whisky Magazine 15/17, rue Fournier 92110 Clichy qui va fêter son 7e anniversaire.

 

Nous avons dégusté et aimé

Isle of Jura 21 ans 44% single malt avec pour signes particulier : non tourbé, fruité, épicé, et surtout salin. Un nez équilibré, une bouche vive, épicée (curry) et herbacé (foin coupé) avec une finale onctueuse (miel, coing)

The Balvenie Signature 12 ans 40% : mariage subtil dû au maître de chai de la distillerie depuis plus de 45 ans, David Stewart de malts provenant de trois types de fûts différents. Cela donne un malt raffiné, rond et équilibré en bouche à tel point que certains le dénomment l'armagnac du whisky.

Ledaig 10 ans d'âge 46,3% non filtré. Une belle onctuosité avant de monter en puissance avec des notes de poivre noir et des arômes de miel et de fleurs.

Lagavulin 12 ans 59,9% : nez minéral, bouche douce avec des nuances subtiles de fumée et de suie. C'est notre coup de cœur intense et tourbé.

Mark's Mark 45%

Ce Kentucky straight bourbon whisky (sans e en hommage à l'eau-de-vie écossaise), est parfumé et rond. Il est personnalisé et valorisé par un superbe flacon bien reconnaissable

Scapa 16 ans 40%

Single malt écossais bien rond au nez de miel de bruyère, bien équilibré en bouche avec une finale marine salée.

Yoichi 1986 59%

Single malt japonais très tourbé, élu à deux reprises meilleur single malt au monde, avec un nez aux notes d'agrumes et d'abricot sec, racé une bouche sur la poire mûre et la fèvre de cacao.

Auchentoshan 12 ans 40% : seule distillerie écossaise à perpétuer la 3e distillation, Auchentoshan en tire la quintessence de son style frais et harmonieux aux senteurs florales et herbacées.

Buslmills 10 ans, 40%

Epicé et fruité, ce single malt irlandais possède une finesse et une onctuosité en bouche qui séduit et mérite le détour.

The Dalmore MacKenzie Vintage 1992 46%

Avec des arômes de prune mûre, de mange et de pâte d'amande, ce single malt est vieilli initialement en fûts de chêne américain pendant onze ans, puis affiné dans des fûts à porto pour les années supplémentaires.

Ballantine's 12 ans 40% : Blend premium équilibré et complexe aux notes de miel (nez) et de sherry (bouche). Un classique qui résulte de la sélection et de la combinaison de plus de 40 whiskies de malt et de grain.

Tobermory 10 ans 46,3% non filtrés à froid : attaque pleine de fraîcheur pour ce single malt sec et puissant avec une finale aux notes mentholées et iodées.

Encadré 1

La Maison du Whisky

Depuis sa création, la Maison du Whisky, le spécialiste incontournable de cette eau de vie en France, s'applique à faire partager sa passion au grand public et aux professionnels. Aujourd'hui, elle distribue plus d'un millier de références de whiskies (dont 600 en exclusivité) dans ses différents réseaux de distribution : dans ses boutiques à Paris, Saint Denis de la Réunion ou à Singapour, par l'intermédiaire d'Internet sur son site www.whisky.fr ; et à travers ses circuits de distribution traditionnels composés notamment de cavistes, épiceries fines, bars d'hôtel et restaurants gastronomiques.

Importateur de plus de cinquante distilleries et négociants en whisky, la Maison du Whisky édite chaque année en septembre un catalogue Collection guide de référence pour les mateurs éclairés de whisky écossais, irlandais, américains ou japonais. Elle propose aussi la plus large de sélection de spiritueux exclusifs sur le marché français. Rhum, téquila, gin, vodka, calvados, liqueur, etc. sont désormais réunis au sein d'une nouvelle entité baptisée LMDW Fine Spitis.

 

 

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Tango argentin… et maternité!

envuejanvier2015

Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.

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Les femmes sont magnifiques et la grâce insoumise !

Par Louise Gaggini

01lesinfosdelaredaction

Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…

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Fabrice Luchini & Pierre Arditi

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Inferno ou l'enfer de Dante

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Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.

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30 December 2015 par redaction
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30 December 2015 par redaction
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