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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Tu me voulais tienne, je me suis voulue soumise

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Le N°17, Vient de paraître
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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

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- Les complications du Diabète

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Nutrition :

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Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

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Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Les cinq mille amants de Ninon de Lenclos

There are no translations available.

 

ninon de lenclosA l’époque ou Ninon de Lenclos vit le jour, en novembre 1620, la France sortait à peine des guerres de religions entre les catholiques et protestants, et coulait des jours plus ou moins paisibles sous la royale autorité de Louis XIII et Anne d’Autriche. Certes, le protestantisme gagnait les esprits, le mécontentement des “grands” avait des odeurs de Fronde et les révoltes populaires contre la misère devenaient fort préoccupantes. .Mais pas assez pour porter ombrage à un noyau d ‘aristocrates parisiens, mondains, superficiels et oisifs dont le quartier général était leurs hôtels particuliers, place Royale (aujourd’hui place des Vosges) dans le .Marais.

 La petite Anne, que ses parents surnommèrent Ninon, était la troisième enfant, viable cette fois, d’Henri de Lenclos, un gentilhomme aventurier et galant attaché au service de quelques hautes personnalités; et de Marie-Barbe de la Marche de la petite noblesse, pieuse et timide.

 De par sa modeste filiation, Ninon devra sa place dans une société sans pitié où il n’existe pas de demi-mesure.

 Dès son enfance, son père l’emmenait dans les salons précieux où elle s’initia rapidement aux codes et aux pièges de la vie mondaine, libre de mœurs, et aux immoralités qui en découlaient.

Elle apprit la danse, le chant, les arts; parlait un peu italien et espagnol; et connaît des rudiments de latin. Elle jouait du luth comme son père. On la montre comme un petit animal savant qui charmait seigneurs et belles dames pour ses dons, ses réparties et ses gentillesses.

Bien vite, le petit jouet précoce qui se fit un nom, dut se débrouiller toute seule: son père se rendant coupable d’adultère et d’assassinat, s’exila. Sa mère, honteuse, se réfugia dans la bigoterie fervente. Elle avait douze ans et dut s’assumer.

Quel avenir pouvait s’ouvrir à une jeune fille de et dans sa condition ?

 

Le couvent ou le mariage.

Le couvent ? Elle était déjà ferme d’esprit et avait trop goûté aux douceurs de la vie pour finir ses jours en recluse.

Le mariage ? C’est sous ce respectable prétexte que s’introduisit Charles Beaumont de Saint-Etienne chez les dames Lenclos. Les chroniques de l’époque affirmèrent qu’il abusa d’elle. Toujours est-il qu’il s’éclipsa aussi vite. Le scénario se renouvela avec le futur Duc de Chatillon: la peu farouche Ninon jura, mais un peu tard qu’on ne l’y reprendrait plus. La vertu notoirement envolée, le mariage ne pouvait plus décemment envisagé. Il lui fallait survivre malgré tout; elle refusait de se passer des plaisirs d’une douce existence, pour vivre en femme libre, indépendante... et respectée.

 

Les hommes se servirent d’elle, elle se servit d’eux.

 Elle tira des conclusions très raisonnées des leçons retenues pendant son court mais fort riche passé. Elle adopta une règle de conduite avec les hommes qu’elle ne trahit jamais:

- ne pas se laisser aller à des sentiments.

- ne pas établir de liaison durable.

- quitter avant d’être quittée.

 

Elle échafauda aussi tout un système très personnel et organisé. Trois catégories masculines pourvoyaient, tant à son bien être matériel, qu’à ses besoins affectifs. Elle avait vingt-deux ans.

- les payeurs: ils subvenaient à ses besoins par des sommes allouées. Elle ne leurs accordait rien et eux se faisaient un honneur de ne rien réclamer. Le plus célèbre fut Jean Coulon, un conseiller au Parlement. Ninon, femme vénale fit murmurer Paris. Sa réputation était faite.

- les favoris qu’elle aimait...(de façon éphémère.)

- les martyrs qui n’étaient pas assez riches, ni assez intéressants pour être aimés. Leur tour viendrait... Enfin peut-être. Ils avaient de la chance ... d'être admis dans le cercle enchanté.

 

Quand un homme lui plaisait... elle le lui disait

 Quand un homme lui plaisait, elle prenait les devants et le lui faisait savoir. Rares furent ceux qui refusèrent. Son pouvoir était de choisir et rejeter selon son humeur. Un jour qu’elle passait en carrosse Cour La Reine, elle se fit arrêter car elle avait aperçu un jeune homme fort beau. Le soir même, il dînait chez la belle. On disait d’elle qu’elle avait “une jolie façon de faire l’amour”.

 Ninon devint un “phare” du milieu parisien. Elle choquait et émerveillait par tant de spontanéité, séduisait les hommes par son naturel; se faisait l’ennemie des femmes. Ce fut un défilé d’amants prestigieux, dont un biographe gêné aurait avancé le nombre de 5 000 !!!!!!.

Elle refusait de se fâcher avec eux. Et quand l’amour, fondé sur l’illusion des sens, était envolé, I’Amitié, engagement moral pur et fidèle, prenait la relève. Pour elle, chacun était unique en son genre et méritait d’être apprécié tel qu’il était.

Mais esquissons un portrait de cette franche ingénue: Tous s’accordèrent à louer plus son esprit que sa beauté. Certes sa taille était élégante et parfaite- son teint blanc, ou deux yeux d’un noir velouté étaient “ceux de la décence et de l’amour de la raison et de la volupté”. On apprécie la grâce de ses gestes. Mais elle a surtout les qualités d’une femme d’esprit. Elle vouait un véritable culte a l’intelligence et acquit une culture déjà très vaste au contact de différentes brillantes personnalités. Philosophe jusque dans son hygiène de vie elle ne buvait que de l’eau et se “sentait ivre dès la soupe”. Elle consommait des nourritures saines cuisinées avec simplicité. Et tous ses amants ont fait l’éloge (en comparaison de sa propreté corporelle)...

 

Ninon était très liée aux libertins


02 ninon de lenclos


 

 

Le XVIIe fut le siècle des salons. Le mouvement débuta chez quelques unes de ces femmes, comme Madame de Rambouillet, où Ninon observait les passes temps. Dans les “ruelles”, on luttait pour plus de galanterie et de civilités dans les mœurs; on se piquait de culture, et on élaborait des théories féministes avant l’heure. Ninon imita ce qu’elle vit dans son enfance. Une foule d’hommes et peu de femmes y furent le mélange délicat et détonnant de financiers, grands bourgeois, poètes, écrivains. Elle y régnait en maîtresse absolue, attentive à tous. Les bons mots, les débats les plus riches sur des questions les plus diverses etaient évoqués sans que jamais cela ne dépassa les règles de la bienséance et de la courtoisie. On y pratiquait des jeux de l’esprit, on parlait beaucoup de littérature, on composait des vers, on jouait de la musique, on mimait des petites pièces. Ninon était très liée aux libertins. Ceux-ci voulaient se libérer des religions pour donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre grâce aux progrès des sciences. (L’homme doit jouir de son être) Les libertins étaient de bons épicuriens.

Elle même libertine (libre de pensées) elle préconisait la tolérance, et faisait peu de cas de la religion. Ce qui lui coûta cher.

Elle avait quitté le Marais pour s’établir Faubourg Saint-Germain, nouveau quartier résidentiel de la Cour. “Plus proche du payeur” disait-on.

Saint-Germain était religieusement sous la haute moralité du dévot curé Olier. Ninon était visée par la Compagnie du Saint Sacrement, institution très inquisitive qui faisait la chasse aux dévoyés sur la moindre dénonciation où suspicion, dans le but de purifier les mœurs. On traquait pêle-mêle prostituées, jansénistes, où libertins.

La venue de Ninon la pécheresse fut une occasion en or. “On parlait”: elle chante des refrains sacrilèges. Et on fit surveiller son logis d’où s’échappent rires, et va et vient incessants. “On y voyait” des orgies.

Ce fut au Carême 1651 qu’on la tint: un prêtre sous ses fenêtres reçut sur la tête un os de poulet. Le curé fila chez le bailli. .. qui hésita à sévir. Ninon avait des amis très haut placés... et l’affaire fut étouffée. Pour se faire oublier, elle récita ses prières devant ses fenêtres grandes ouvertes. Elle tira de cette aventure une nouvelle maxime (elle fréquentait La Rochefoucault): “pense à ta guise mais pratique comme les autres”.

On la poussait à prendre un confesseur directeur de conscience suivant la mode. Bon nombre essayèrent en vain de la convertir. L’abbé Testu lui avoua même qu’on lui avait promis un évêché en récompense.

Ninon dérangeait les âmes vertueuses et les jalouses. Elle fut malgré tout incarcérée à la prison des Madelonnettes, après qu’une ligue de bonnes dames patronnesses de la Cour s’associèrent en comité d’action morale, et dénoncèrent “le lieu de débauche, de libertinage et d’impiété...” “où leurs fils, leurs maris... et leurs amants se rendaient. Elle fut arrêtée sur l’ordre verbal d’Anne d’Autriche. Elle en ressortit plus que triomphante après un séjour forcé en province, au couvent de Lagny, avec des marques de considération des plus grands. Christine de Suède, de passage en France, désira lui être présentée et parla d’elle avec circoncéption.

Chaque leçon était pour elle une remise en question. Elle effaça son passé, et s’installa au 36 rue des Tournelles dans un modeste hôtel particulier. elle ne voulut plus alors, qu’être honorable et respectable. Elle avait suffisamment d’argent pour se passez des payeurs et faire taire les bavards. Le label Lenclos se voulait une valeur sûre. Elle avait 50 ans.

Sa renommée fit que tout gentilhomme qui se réclamait de ce titre devait obligatoirement fréquenter son salon. elle fut une sorte d’Ecole de l’Amour, où ses anciens amants et relations lui envoyèrent leurs fils pour tout apprendre des femmes: qui sont-elles, comment se comporter avec elles ? Ils découvraient l’art de la galanterie et de la conversation afin d’être parfaits lors de leur entrée dans le monde. Ces “étudiants” portaient le nom “d’oiseaux des Tournelles”. C’est ainsi qu’elle prodigua (et bien plus) ses conseils à Sévigné père, fils et petits fils... au grand dam de la marquise qui raconte ses lettres que son fils était si intimidé devant son professeur qu’il lui fut impossible de l’honorer.

 

Elle était si intrigante que Louis XIV la fit espionner


Louis 14


 

La rue des Tournelles devint le lieu le plus recherché de la bonne société; célèbre pour son bon ton et ses plaisirs les plus fins. D’ailleurs Ninon, pardon Mademoiselle de Lenclos, faisait bien attention de ne commettre aucun impair qui put nuire à sa réputation durement établie.

Tous les jours à cinq heures, elle recevait tout ce que la France comptait de personnalités les plus marquantes. Celles de la Cour entre autre Philippe d’Orléans, grand débauché dont la mère la princesse Palatine se réjouissait de le voir fréquenter le droit chemin et les bonnes manières. Mais aussi La Rochefoucault, Molière, Boileau, La Fontaine... Même les dames lui trouvèrent du mérite, de la tenue et les plus nobles sentiments de cœur. Elle a le don de la conversation: elle sait écouter, animer et relancer les débats, éviter les médisances et les prises de positions catégoriques. Elle interdit que l’on parle politique ou religion.

Et on se pressait à son salon; il fallait absolument en être !!

Ninon était si intrigante que Louis XIV la fit infiltrer par des espions afin d’ouïr d’éventuels complots.

A neuf heures, un domestique lui servait son thé à la violette, luxe suprême que lui envoyait de Londres son ami éternel et maître à penser Saint Evremont, exilé politique. Ils établirent une correspondance suivie jusqu’à la mort de ce dernier, pleine d’échanges d’idées, de réflexions sur la nature humaine et de douces confidences amoureuses.

Toutes les amitiés de Ninon ne furent pas hautement spirituelles. L’une d’elle fut même très intéressée, mais conduite avec sa légendaire délicatesse. Ninon eut un fils du marquis de Villarceau le seul homme qu’elle aima véritablement. Ce jeune homme était si instable et insolent qu’il fut renvoyé de la Marine. Elle fit alors la connaissance de Monsieur de Bonrepos que l’on surnommait, d’après son physique et son caractère “Petit Bon”, un commissaire général de la Marine. Elle lui écrivit fort souvent et l’attendrit par le jeu de la mère éplorée; excusa la conduite de son fils plus d’une fois; relança le protecteur, pleine de confusion, de marques d’amitiés... et de malice. Le jeune Boissière fut promu chef d’escadre ! Elle pistonna ainsi d’autres relations.

 

85 ans et encore des hommes à ses pieds

 

Ninon se fait âgée, et elle voyait ses amis les plus tendres partir les uns après les autres. Le choc survint avec le décès de Saint Evremont, sans qu’ils n’aient jamais pu se revoir. Elle avait 80 ans. Un pensionnaire de son salon faisait alors réflexion “seuls ses yeux la trahissaient, dans lesquels on pouvait lire toute son histoire”. Elle plaisait encore par son maintient; et sa conversation était toujours aussi mordante. Son bon sens et sa sagesse lui firent prendre un confesseur et elle acheta discrètement une place en l’église Saint Paul, aujourd’hui détruite.

Mais Ninon ne pouvait quitter ce monde sans un ultime coup de théâtre. Elle fit exécuter son testament par Maître Arouet qui lui présenta son jeune fils, un gamin au caractère si volontaire, que ses parents l’appelaient “Voltaire”. Ce fut la rencontre des esprits forts. Séduite, pour une fois, par l’enfant précoce (comme elle le fut elle-même), Ninon lui légua une partie de sa fortune. Il récompensa sa donatrice en racontant sur son compte les légendes les plus folles qui firent les délices du XVIIIe siècle libertin. Voltaire assurait qu’amie “très intime” par le passé avec celle qui n’était pas encore Madame de Maintenon, cette dernière lui avait proposé de s’installer à Versailles près du roi, afin de distraire par son esprit pétillant Sa Majesté vieillissante et assombrie après une vie si mouvementée. Elle avait 85 ans. S’il est vrai qu’aucun homme ne pouvait lui résister... !! Saint Simon qui avait la dent dure envers ses contemporains lui fit malgré tout ce compliment: elle fut “le triomphe du vice conduit avec esprit”.

A l’aube de son déclin, la Reine Soleil de Paris eut cette réflexion d’elle même: que si on lui avait prédit une telle vie... “j’aurais préférée être pendue”.

 

 

Bibliographie de Ninon de Lenclos:

”Ninon de Lenclos” de Philippe Erlanger Perorin 1985

”Ninon de Lenclos, amoureuse et courtisane” de Jean Goudal Hachette 1967

 

 


 



 

 

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