La lapidation des femmes :
un viol collectif !
La lapidation de Doa Khalil Aswad, 17 ans, qui fut fracassée par pierres et coups de pieds jusqu’à ce qu’elle meurt, sous le prétexte qu’elle était amoureuse d’un garçon, démontre bien comment l’islam a été dévoyé par un islamisme terroriste qui permet à des populations musulmanes incultes, de trouver des exutoires physiques et sexuels, aux contraintes religieuses qui les réduisent.
Dans les lapidations et les meurtrissures des corps féminins par des hommes jeunes ou vieux, c’est précisément de cela qu’il s’agit.
Que ce soit avec les Frères musulmans ou d’autres factions islamistes, partout dans le monde aujourd’hui un Islam perverti tente de s’implanter en tenant les individus loin des plaisirs, tout en les incitant, pour compensation, aux meurtres et à l’assassinats de femmes et de jeunes filles, évidemment toujours au nom d’une morale sexuelle non respectée.
La sexualité est donc bien au cœur des lapidations des femmes, et quelle aubaine pour des hommes à qui leur religion ôte tant de plaisirs, d’avoir la permission de détruire ces corps qui les rendent fou de convoitise et de colère.
C’est donc dans une frénésie de déments et ivres de perversions refoulées, que les hommes qui lapident, souillent, insultent, avilissent, brutalisent et frappent des femmes, avant de les écraser et les tuer définitivement sous les pierres et leurs coups de pieds, jouissent au paroxysme de l’hystérie, de la mort de pauvres corps qui n’auront eu d’autre tort que de naître féminin dans un monde d’hommes ; de jeunes corps interdits à l’amour qui eurent l’indécence de vouloir aimer, et qu’ils saccagent par frustrations sadiques dans une dynamique de groupe qui s’apparente à celle des viols collectifs.
Ils ne pénètrent pas les femmes qu’ils lapident, mais leurs pierres et leurs coups sont autant de pénétrations symboliques, de viols et d’agressions sexuelles autorisés par un islamisme forcené, qui fait d’un monde arabe autrefois des lumières, un monde d’assassins, de fous et de violeurs.