Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…
RESTAURANT LE RUBAN BLEU : Le restaurant des Hauts de Seine, réservé aux élus et hauts fonctionnaires du Département et de la Région, vous accueille dans un cadre ultrachic.
La main aux fesses n’est pas une spécificité spécifiquement française à la DSK et une exception hexagonale si on peut dire. Le harcèlement sexuel (« sexual harassement » en anglais) sévit partout, mais n’est pas facile à prouver surtout dans nos pays latins. A la différence du harcèlement moral, il touche majoritairement les femmes bien que quelques hommes soient aussi concernés, comme l’a démontré l’affaire Collier. Même aux Etats-Unis où le sujet n’est plus tabou et fait l’objet de procès retentissants, 60% des femmes qui en sont victimes ne portent pas plainte. En Europe, on le subit sans se plaindre : d’après une enquête du Ministère allemand de la Famille, moins de l% des femmes « harcelées » portent plainte. En France, 20% seulement avouent avoir subi un harcèlement sexuel. C’est peu, sans doute inexact. En outre, tout le monde n’est pas d’accord sur la définition et les limites du harcèlement sexuel, notamment les victimes potentielles, ce qui est un comble !
Le député socialiste corrézien François Hollande mène campagne actuellement dans le cadre des Primaires Citoyennes dont le vote aura lieu les 9 et 16 octobre prochains. Favori des sondages, pressenti pour peut-être accéder à l’Elysée, François Hollande était vendredi 30 septembre à Cahors pour visiter la Villa Malbec. Lors d’une rencontre avec la presse, François Hollande s’est confié à Johan Gesrel. Ils nous raconte son parcours personnel avec le vin et nous donne sa vision sur l’avenir de la filière.
Johan Gesrel - François Hollande, quelle est votre première rencontre avec le vin ?
François Hollande – Il y a d’abord le premier vin que mes parents m’ont fait goûter. C’est un Bourgogne, je m’en souviens encore…et c’était une découverte moi qui était habitué au « Pschitt » et au « Coca-Cola ». Quand on a 10-12 ans, ce breuvage, le vin, paraît extravagant, et donc c’est un apprentissage ! Mes parents m’ont éduqué pour que le vin soit un produit respecté, c’est-à-dire un produit de qualité. Je n’ai jamais eu de mauvais vin à table même si souvent dans des familles ça peut arriver. Moi, j’ai toujours eu, grâce à mes parents, une éducation œnologique qui a fait que je ne buvais pas beaucoup de vin lorsque j’étais jeune, pas davantage aujourd’hui. A table, c’était des bons vins de table ou de bonnes appellations qui m’étaient servis.
Le professeur Christian Cabrol, spécialiste mondial en chirurgie cardio-vasculaire, a été interrogé sur les rapports entre vin et santé à l'occasion du Salon des Grands Vins. Amateur de bonne chère (il est membre du Cercle des amoureux du foie gras) et de vins fins, il fait le point sur les dernières études scientifiques sur les rapports entre vin et santé.
On connaît les méfaits de l'alcool sur notre organisme. Or, de récentes études semblent confirmer les bienfaits du vin sur la santé, lorsque sa consommation reste modérée. Quels sont vraiment ces effets positifs ?
Prof. Christian Cabrol : On distingue en fait quatre effets positifs du vin à condition, bien entendu, de le consommer modérément. A savoir :
- Diminution du risque de maladies cardio-vasculaires alors qu'on mange plus gras que les Anglo-saxons. Ce qui a débouché sur la notion de « french paradoxe » qui intrigue tant les Américains qui font des séjours gastronomiques du côté du Sud Ouest.
-Action contre certains cancers
-Action sur le système nerveux (démence sénile)
-Effet euphorisant de bonne humeur (aide à lutter contre le stress)
A quoi attribue-t-on les bienfaits du vin sur la santé ?
« Vit Local, pense Global » (Slogan du site Med'in Marseille)
« Tous les vingt ans, les jeunesses du monde posent aux vieillards une question à laquelle ils ne savent pas répondre » (Georges Bernanos)
Jadis, il y a moins d'un siècle en fait, la solidarité était avant tout de proximité, familiale,villageoise, tribale, ethnique (comme souvent en Afrique) : l'étranger habitait le village voisin à dix kilomètres à peine et représentait dans l'inconscient collectif l'inconnu, le danger, l'ennemi, l'altérité par excellence. Autrefois, on vivait en autarcie et se mariait entre soi dans la peur de l'autre, la crainte du mélange et la hantise de la différence.
Or, avec le surgissement des concepts post modernes de mondialisation et de globalisation et le flux incessant de « la bombe informatique », le village est devenu aujourd'hui planétaire et la solidarité, concept galvaudé et récupéré par les uns et les autres à droite comme à gauche, s'est élargie et diversifiée à l'autre bout de la terre. Avec le surgissement, par exemple, du commerce équitable qui consiste à payer au juste prix les producteurs du tiers-monde pour qu'ils puissent vivre de leur travail. Au risque parfois de se perdre et voiler son sens premier, a priori humaniste et généreux, et de cultiver un âge d'or où la notion de solidarité n'était pas alors minée par la dureté des temps et les incertitudes d'un monde en convalescence, où les relations paraissaient, à tort ou à raison, différentes, non frelatées et plus humaines. A Tunis, après le changement de régime due à la rue, on a entendu : « Ben Ali est parti avec la caisse mais nous a laissé la solidarité. »
Les présidentielles sont là. Enfin presque, et les quelques sondages autorisés quasiment « étatisés » foisonnent et intoxiquent à l'évidence la pensée nationale et les divers médias qui y font appel constamment et à tout propos.
Yves Calvi qui fut à ses début sur « C'est dans l'air » (émission produite par Jérôme Bellay, un homme que personnellement j'admire, j'estime, allez je me lâche, j'adore pour son professionnalisme, sa créativité et sa capacité à anticiper du monde qui l'entoure), Yves Calvi donc qui fut à ses début un journaliste désireux de bien faire son métier, s'est peu à peu englué dans l'attrape-nigaud qui piège assez souvent les journalistes « On prend les mêmes et on recommence », comme si les personnes invitées, toujours les mêmes, devenaient par la magie de l'émission, détenteurs d'une pensée universelle et de science infuse dans tous les domaines de la vie.
Yves Calvi n'est pas devenu un mauvais journaliste, mais en même temps que des cheveux lui sont poussés sur la tête, il s'est simplement laissé aller à la facilité.
Une émission d'actualité quotidienne n'est pas un défi facile à relever, mais la ramener à du people à peine amélioré à force de ne prendre que les mêmes débatteurs, sans souci assez souvent de leurs réelles compétences par rapport aux sujets développés, c'est vraiment « prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages. »
Aujourd'hui Dominique Strauss Kahn est confronté à Tristane Banon.
Mais les avocats de Dominique Strauss Kahn, depuis quelques jours, tentent d'épargner le procès au civil de leur client sous le prétexte de l'immunité diplomatique.
À Nananews.fr, nous pensons que DSK a tort. Cela donne prise à des soupçons et des doutes quant à son innocence, et pas du tout sur la dimension de son pouvoir, bref, la réputation de DSK ne sortira pas indemne de ce deal-là qui, s'il fonctionne, le dégagera à la fois du procès Américain et Français, son immunité diplomatique étant plénière et totale.
Il faut dire à sa décharge, qu'après les attaques violentes qu'il a subi depuis son incarcération aux USA, il doit avoir à cœur de sortir le plus rapidement possible de cette boue qui l'a atteint à l'intime, lui, sa famille, ses enfants et ses proches.
Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.
Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…
Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.