Ukraine : La Russie accusée de fournir des armes aux séparatistes
La Russie continue de fournir troupes et armes aux séparatistes en Ukraine, selon l'OTAN, en dépit des accords de paix de Minsk signés en février. C'est ce qu'explique un responsable de l'organisation militaire au Frankfurter Allgemeine Zeitung, dans son édition à paraître dimanche 12 avril.
« Nous constatons encore un soutien aux séparatistes – avec de l'armement, des troupes et de l'entraînement. La Russie fait encore passer des troupes et de l'armement d'un côté et de l'autre de la frontière ouverte avec l'Ukraine. »Les chefs de la diplomatie ukrainien, russe, allemand et français doivent se réunir lundi soir à Berlin, en Allemagne, pour examiner le suivi des accords de paix de Minsk de février sur la crise ukrainienne.Lire aussi l'analyse (édition abonnés) : Les entorses de Kiev à Minsk 2 inquiètent ParisLa situation reste tendue en Ukraine, où le cessez-le-feu prévu par ces accords est précaire et régulièrement bafoué sur le terrain. Tout comme le retrait des armes lourdes, qui ne semble pas non plus en mesure d'être appliqué.Des observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe ont été envoyés pour une mission sur place. Mercredi, ils ont critiqué la limitation de leurs déplacements.Lire aussi : Poutine dit avoir agité la menace nucléaire en Crimée
« Nous constatons encore un soutien aux séparatistes – avec de l'armement, des troupes et de l'entraînement. La Russie fait encore passer des troupes et de l'armement d'un côté et de l'autre de la frontière ouverte avec l'Ukraine. »Les chefs de la diplomatie ukrainien, russe, allemand et français doivent se réunir lundi soir à Berlin, en Allemagne, pour examiner le suivi des accords de paix de Minsk de février sur la crise ukrainienne.Lire aussi l'analyse (édition abonnés) : Les entorses de Kiev à Minsk 2 inquiètent ParisLa situation reste tendue en Ukraine, où le cessez-le-feu prévu par ces accords est précaire et régulièrement bafoué sur le terrain. Tout comme le retrait des armes lourdes, qui ne semble pas non plus en mesure d'être appliqué.Des observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe ont été envoyés pour une mission sur place. Mercredi, ils ont critiqué la limitation de leurs déplacements.Lire aussi : Poutine dit avoir agité la menace nucléaire en Crimée